C’est l’une des conséquences indirectes du coronavirus. D’abord impactées par une diminution du nombre de leurs bénévoles, les associations doivent aujourd’hui faire face à une baisse importante du nombre de dons. Si certaines réussissent à s’en sortir tant bien que mal, les petites structures ont du mal à palier le manque d’approvisionnement et craignent un appauvrissement d’une population déjà sous le seuil de pauvreté. Océane Chabardès est partie à la rencontre de l’association Aïcha, localisée à la Patrotte Metz-Nord.