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Face à Face avec Patricia Sallusti

Face à Face avec Patricia Sallusti

Mirabelle Gourmande – Restaurant Le Jardin des Chefs

Mirabelle Gourmande – Restaurant Le Jardin des Chefs

Busin’Est #6 – Février 2018

Busin’Est #6 – Février 2018

A Feu Doux – L’Auberge Lorraine

A Feu Doux – L’Auberge Lorraine

Metz : Oswald de nuit s’installe au Théâtre du Saulcy

Accablé par la ville oppressante, Oswald se replie sur lui-même au point devenir un marginal qui, pour oublier son mal-être, tombe dans la déprave motivé par une rage qu’il crache à la face du monde tout au long de la pièce. La pièce Oswald de nuit, écrite par Samuel Gallet et mise en scène par Nadège Coste, est au Théâtre du Saulcy jusqu’au 25 janvier.

Trois personnages qui s’adressent au public par le biais de monologues tantôt colériques tantôt calmes et plein d’espoirs. Oswald, Elias et Rosa, trois personnages qui se confrontent par prises de paroles interposées. Si Oswald et Elias sont deux ennemis animés par la rancoeur et l’animosité, Rosa, elle, est un personnage doux; si doux qu’on peut y voir une représentation allégorique de l’Espoir.

 

La mise en scène à l’esthétique très épurée de Nadège Coste permet au texte de Samuel Gallet d’habiter toute l’attention du spectateur.

Entre Concert et Théâtre

« Le partis pris de la mise en scène, c’est vraiment de faire un spectacle à mi-chemin entre concert et théâtre » nous explique Nadège Coste, metteur en scène. En effet, tout au long de la pièce, l’artiste et musicien Chapelier Fou, artiste messin reconnu à l’international, transporte le spectateur directement dans l’émotion des personnages grâce à ses instruments tels que le violon, la guitare et le clavier le tout accompagné de ses machines électroniques. Une ambiance musicale électrique et langoureuse qui s’inscrit parfaitement dans le ton de la pièce.

Jusqu’à jeudi prochain, cette pièce est à découvrir au Théâtre du Saulcy. Plus d’informations sur le site de l’université de Lorraine

Inondations en Lorraine : quand la science se sert des crues

La Moselle était en crue hier mardi 23 janvier. A cette occasion, des chercheurs du laboratoire Image, ville environnement (Université de Strasbourg/CNRS) accompagnés des équipes en charge de la gestion Réserve Naturelle Régionale de la Moselle Sauvage ont procédé à une grande opération de mesures de données à Bainville-au-Miroir, sur ce tronçon de 12 km de rivière particulièrement important pour l’écosystème de l’agglomération nancéienne. 

Un reportage signé Anne-Sophie Pierson et Orianne Valloo.

 

Malaise à l’Hôpital de Jury : le personnel est à bout

Infirmiers et aides-soignants du centre hospitalier de Jury ont manifesté leur mécontentent mardi matin devant leur établissement de santé. Restrictions budgétaires,  manque de personnel, journées à rallonge, ils dénoncent une dégradation de leurs conditions de travail et en conséquence, une détérioration de la prise en charge des patients.

Un reportage de Gaële Thisse

Le Luxembourg rend hommage à Bocuse

S’il était l’ambassadeur de la gastronomie française à l’international, Paul Bocuse laisse également une empreinte chez nos voisins luxembourgeois. Au restaurant le Clairefontaine, cantine préférée des personnalités politiques du pays, le menu change 5 fois par an, au gré des produits de saison.
Mais il y a un plat signature, qui reste sur la carte depuis 17 ans : la poularde demi-deuil accompagnée de sa purée truffée. Ce classique de la cuisine tricolore, Paul Bocuse le travaillait aussi… dans une vessie de porc.

Reportage: Kim Hammerschmidt

JAZ – 23/01/18 – Inondations, Bocuse, Waow!

Crue, CHS Jury, Paul Bocuse, Waow!, « Oswald de Nuit »…

Coupe de la ligue de handball : les demi-finales sont connues

Le tirage au sort du final four mené par la main de l’athlète lorrain Bouabdellah Tahri a accouché de deux belles affiches.

Les demi-finales verront donc Paris et Dunkerque en découdrent alors que l’équipe d’Istres, petit poucet de l’épreuve et qui évolue en Proligue (l’équivalent de la division 2) tentera un nouvel exploit face à Toulouse.

Un évènement incontournable du handball français qui revient à Metz. Cela n’était plus arrivé depuis la saison 2006/2007. La phase finale de la coupe de la ligue se tiendra aux Arènes les 17 et 18 mars prochains et il y aura du beau monde. Les frères Karabatic, Luc Abalo, Daniel Narcisse et les autres internationaux du PSG tenteront de conserver une couronne qu’ils ont acquis la saison dernière aux dépens de Nantes (31-27).

Etienne Capon, Directeur général de la Ligue nationale de handball et Baptiste Butto, joueur de Dunkerque né en Moselle nous présentent les contours de ce grand rendez-vous au micro de Michel Weiss.

« L’Eté » : troisième album du groupe, rock-électro lorrain, Fergessen est dans les bacs

En 2015, Fergessen a tapé dans l’oeil de Zazie aux auditions de l’émission « The Voice » diffusé sur TF1. Le duo, composé de David et Michaëla, séduit la chanteuse grâce à leurs harmonies vocales, qui les embarque pour deux prime-times, ce qui leur permet d’être découvert par des milliers de téléspectateurs. Trois ans après cette folle aventure, le groupe rock-électro lorrain a sorti lundi 22 janvier son troisième album intitulé « L’Eté ».   Beats électro, basses synthétiques, mots soignés, le groupe donne naissance à une pop « Made in France », aux vertus énergisantes. Un album financé en partie par des fans, sur la plateforme de financement participatif Kisskissbankbank.

Il s’appellera L’Eté et ce sera un album ensoleillé, à notre manière. – FERGESSEN

Alicia Hiblot les a rencontré à l’occasion de la sortie de leur 3ème album, sur le plateau de Juste Avant de Zapper sur Mirabelle.tv.

 

 

Ascométal : les salariés de l’aciérie d’Hagondange en grève

Depuis novembre 2017, Ascométal est en redressement judiciaire. Deux repreneurs se sont positionnés pour reprendre le groupe mais aucun ne mise sur l’aciérie d’Hagondange et prévoit de fermer le site d’ici 2019.

Hier, lundi 22 janvier, alors que les dossiers des deux repreneurs étaient présentés aux partenaires sociaux, des salariés d’Ascométal à Hagondange ont manifesté leur colère à l’entrée du site, opérant un barrrage filtrant, écoeurés par le manque de soutien des pouvoirs publics et de leur direction.

Une cinquantaine de salarié est en grève depuis lundi, opérant un barrage filtrant devant l’aciérie d’Hagondange

Aujourd’hui, les salariés en grève ont décidé de renouveler le mouvement et de bloquer à nouveau l’accès au site d’Hagondange.

Retour sur le blocage de lundi, un reportage signé Pierre Machado et Orianne Valloo

 

Thionville : la Clinique Sainte Elisabeth, toute une histoire

Situé dans l’hyper-centre de Thionville, la clinique Sainte Elisabeth fait, depuis plus d’un siècle, partie du paysage. A la fin du mois de janvier, la structure de type EHPAD déménagera dans de nouveaux locaux situé à Yutz, abandonnant ainsi le bâtiment originel, un lieu chargé d’histoire.

C’est en 1908, en pleine période d’annexion, que cette clinique ouvre ses portes. Le terrain, offert par la mairie à l’Abbé Liebe, accueille après 4 ans de travaux un centre destiné à l’accueil des voyageurs et des sans-abris. Les soeurs de la congrégation de Saint-Charles, viennent aider l’abbé à prendre en charge les pensionnaires.

Un an après l’ouverture de ce centre, le 14 octobre 1909, l’Empereur allemand Guillaume II et son gouvernement autorise l’ouverture d’une chapelle, toujours visible de nos jours. « les vitraux ont pour la plupart été offerts par des familles de donateurs » nous explique Patrick Lstiburek, le directeur de la clinique.

En 1914 alors que la première guerre mondiale éclate, le centre d’accueil se transforme malgré lui en hôpital de guerre et accueille les blessés du front.

En feuilletant les archives de la clinique, c’est un pan entier de l’histoire local qui s’offre au lecteur. Transformé en clinique au milieu des années 20 puis en foyer de jeunes filles, les transformations du lieu n’ont jamais fini de faire évoluer l’utilité du bâtiment.

Une mine d’information dans les archives

Les différents carnets d’admissions des périodes de guerre représentent une mine d’information sur les pratiques médicales et administratives de l’époque. En 1940, au début de la seconde guerre mondiale, les patients de la clinique évacuent durant deux mois la clinique, alors occupée par les soldats de l’armée allemande. A leur retour, quelques semaines plus tard, les soeurs et les patients retrouvent un hôpital en partie pillé de son matériel par les soldats ennemis.

Dans un journal tenu par l’une des soeurs supérieures en charge de la clinique durant la seconde guerre mondiale, est relaté toute la difficulté, pour les soeurs, de continuer leurs actions pendant l’invasion allemande en 1940.

Dans les années 60 s’opèrent les premières grandes transformations hospitalières de Sainte Elisabeth et jusqu’en 1986, la clinique développe une activité chirurgicale… Mais les grandes réformes médicales des années 80 et 90 auront eu raison de cette orientation. « A partir de 1986, les réformes voulaient que nous ayons le double de nos effectifs, ce qui n’était pas supportables financièrement pour nous » explique Patrick Lstiburek. Dépassé par ces nouvelles réformes, le choix est alors fait d’abandonner l’activité chirurgicale au profit d’une activité essentiellement médicale.

D’ici quelques semaines, le bâtiment original de la clinique sera abandonné au profit d’un nouveau complexe entièrement neuf et mieux adapté à son activité. Situé en plein coeur de Yutz, la nouvelle clinique Sainte Elisabeth  débutera sa nouvelle installation de zéro, mais son histoire, elle, ne fera que continuer.

 

Le GEC de Nancy vendu

Il a hébergé depuis sa création, il y a près de 100 ans, plus d’un millier d’étudiants. Le GEC, ce foyer emblématique de la vie étudiante nancéenne sera vendu d’ici 2020. En un siècle, le bâtiment a fait l’objet de plusieurs phases d’agrandissement, mais aujourd’hui de gros travaux de rénovation s’imposent, des travaux qui couteraient trop cher à l’association qui gère les lieux, de même qu’à la Métropole du Grand Nancy, propriétaire du bâtiment. La société Batigère et la MGEL devraient donc reprendre les rennes de ce foyer d’hébergement étudiant en 2020.

Gaële Thisse s’est rendue sur place pour tenter de mieux comprendre ce qui fait l’identité du GEC.

Le GEC continuera d’héberger des étudiants durant 2 années encore : les prochaines portes ouvertes en vue des inscriptions 2018 se tiendront d’ailleurs le samedi 10 février et le samedi 14 avril. Plus de d’infos ici

Graoully Mag du Lundi 22 Janvier 2018

Graoully Mag du Lundi 22 Janvier 2018

JAZ – 22/01/18 – Ascométal, Moselle sans limite, Bégaiement

Ascométal, surveillants pénitentiaires, Moselle sans limite, GEC, bégaiement…

La Moselle sans limite

Ce vendredi 19 janvier, le département de la Moselle a dévoilé sa marque de territoire. Son nom : MOSL, pour MOselle Sans Limite.
Un an et demi après le dévoilement de la marque de territoire de Metz Métropole : « Inspire Metz », le département de la Moselle se dote de la sienne. L’objectif : fédérer l’ensemble des acteurs qui font la richesse du département pour faire rayonner la Moselle hors de ses frontières.
L’évènement s’est déroulé au Galaxie d’Amnéville devant 2500 invités.

Reportage: Jean-François Ambroise

La taxe inondation se répand en Moselle

Un nouvel impôt vient de voir le jour. Il s’agit de la taxe inondation.
200 intercommunalités ont d’ores et déjà décidé de l’appliquer pour les aider à prévenir les crues et inondations.
En vigueur depuis le 1er janvier 2018, la taxe Gemapi avait été élaborée sous François Hollande et l’ancienne majorité en place. L’État a institué un plafond de 40 euros par an et par habitant mais chaque intercommunalité est libre de fixer son propre tarif.
A Forbach elle s’élève ainsi à 4,90€.

Toutes les explications avec Anne-Sophie Pierson

Les animaux de Julie crient à l’aide

Passionnée d’animaux, Julie Kull a créé dans son village de Pierrevillers près de Metz, une véritable petite ferme. Refuge pour animaux de toute sorte : poules, chèvres, moutons, poneys mais aussi lamas et alpagas y pâturent en toute tranquillité. Julie a récupéré des animaux abandonnés ou acheté par passion des espèces plus insolites. Julie fait vivre tout ce beau monde grâce à son salaire d’aide-soignante et avec l’aide de sa famille et de quelques amis et villageois, mais l’hiver est long et les besoins des animaux importants.
Elle lance aujourd’hui un appel aux dons pour mieux subvenir aux besoins de ses pensionnaires et créer à terme une ferme pédagogique.

Reportage: Gaële Thisse