On connait les « vide-greniers » ou les « vide-dressing », mais connaissez vous les « vide-mairies »? L’initiative a été prise par la petite commune de Rochonvillers près de Thionville. Son grenier recelait de petits trésors, car la mairie abritait une école jusque dans les années 80. Pupitres d’écolier ou cartes d’apprentissage … elle a eu l’idée, plutôt que de s’en débarrasser, de les mettre en vente à petit prix, une vente dont les bénéfices serviront à renflouer un peu les caisses de la commune.

Un reportage de Gaële Thisse

La Mairie de Rochonvillers est ouverte pour l’occasion jusqu’au 23 mars les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9h à 12h ainsi que que 2 après midi par semaine : le mardi de 14 à 17h et le vendredi de 13h à 15h30

Du portrait féminin au chat cubiste, en passant par l’abstrait pur, François Cerfontaine manie le pinceau avec précision afin de mettre en image une partie de son imagination. Avec un code graphique caractérisé par un aplat de couleurs et une simplification du trait, le style s’inspire très largement de l’Univers du Pop Street Art, mariant le graffiti et le Cartoon.  Rencontre avec cet artiste débordant de joie de vivre.

Un portrait réalisé par Timothée Girard :

« 40 ans, il est temps de t’y mettre papa »  

La peinture est une discipline dans laquelle François Cerfontaine s’est lancé sur le tard. Si son envie de peindre était là depuis l’enfance, ce n’est qu’à quarante ans qu’il se lance, encouragé par sa famille, notamment par ses deux enfants.

Employé chez Dassault Aviation à Paris, ce quinquagénaire thionvillois troque chaque soir son costume-cravate contre les pinceaux et ses toiles. Dès qu’il a le temps, avec patience et concentration, il enchaine les couches de couleurs et enchaine parfois jusqu’à trois semaines de travail pour une oeuvre.

Ingénieur la semaine, artiste le week-end… En dix ans, François Cerfontaine a peint plus de 300 toiles. Actuellement, pas moins de 6 expositions présentent ses oeuvres aux quatre coins du Grand-Est, et avec un style si particulier, il est facile de reconnaître son travail dès le premier coup d’oeil.

Metz s’apprête à accueillir un nouveau quartier « Coeur Impérial ». Le chantier, initié par des investisseurs locaux, va voir naître 450 logements dans le coeur historique de la capitale mosellane. Parmi eux des logements aidés ainsi qu’une résidence séniors haut de gamme. La pose de la toute première pierre a eu lieu hier à l’emplacement de l’ancien hôpital Bon-Secours, 5 ans après son départ pour Mercy.

Avant les premières livraisons prévues pour le printemps 2019, Kim Hammerschmidt s’est invitée sur ce chantier.

Quels seront les contours du service militaire universel voulu et promis par Emmanuel Macron lors de sa campagne présidentielle ?

Les sénateurs du Grand Est Jean-Marie Bockel (UC – Haut-Rhin) et Jean-Marc Todeschini (Socialiste et républicain – Moselle) ont été chargés de plancher sur la question. En visite au 1er Régiment du SMV de Montigny-lès-Metz, ils entendent s’inspirer de cette réussite.

Si le groupe de travail sera chargé de remettre ses conclusions et son rapport sur le sujet en avril, ce service pourrait être testé en 2019 avant une généralisation en 2020. D’une durée d’un mois, les jeunes de 16 à 18 ans pourraient être ciblés.

Réponse dans les semaines à venir.

Imaginez un robot capable de se déplacer uniquement par la pensée. Simplement grâce à l’émission de signaux d’activités électriques émis par le cerveau et captés par un casque Bluetooth.
Cette technologie pourrait à terme permettre à des patients paralysés de pouvoir se déplacer en contrôlant les mouvements de leurs prothèses. En attendant, l’expérience menée par ces deux étudiants nancéens en ingénierie biomédicale sera réalisée avec des enfants lors de la 20ème édition de la semaine du cerveau (du 12 au 18 mars).

Découverte de cet outil avec le reportage d’Orianne Valloo