Les Dragonnes de Metz Handball recevaient Le Havre ce mercredi 10 septembre 2025 aux Arènes de Metz. Le match était diffusé en direct sur Moselle TV et vous attend désormais en replay !
Un match commenté par Matthieu Henkinet.
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Soutenue par le Fonds de Dotation Mercy, la gendarmerie en Moselle s’est dotée d’un laboratoire pour développer des projets santé : le Lab’Est. Le Colonel Grau nous en parle.
« Il a toujours existé un intérêt sur la santé-sécurité au travail au sein de la gendarmerie et nous sommes conscients que la prise en compte de la santé est un vrai levier de performance » explique le Colonel Grau, conseiller aux affaires territoriales de la générale Florence Guillaume – Gendarmerie Grand Est. En effet, depuis plusieurs années, la capitale est dotée d’une filière structurée autour de la santé et de la sécurité au travail. « Mais il manquait l’aspect recherche et innovation. C’est là, le but du Lab’Est » !
Un outil de prévention et d’innovations, soutenu financièrement par le Fonds Mercy, qui doit améliorer les conditions de travail des gendarmes… mais pas uniquement. « Notre espoir est d’améliorer aussi la vie des familles de nos militaires« . À l’échelle mosellane et de la région c’est certain mais avec la volonté de proposer ces projets dans le reste de la France.
S’il ne s’agit que des prémices du Lab’Est, des projets se dessinent déjà. Parmi les grandes orientations, la gendarmerie devrait travailler conjointement avec l’ENIM pour virtualiser une scène de travail. « L’occasion de se demander pour quelles raisons un gendarme n’a pas accompli tel ou tel geste, telle ou telle procédure professionnelle, source de stress ».
Autre idée : comment accompagner encore mieux l’arrivée de jeunes recrues affectées dans des unités isolées. La santé mentale sera également mis en exergue avec ce laboratoire. Sur la plateau de S comme Santé, le Colonel Grau évoque l’ambition de travailler avec l’Université de Lorraine et les psychologues interne à la gendarmerie sur ce sujet.
Rappelons que le lab’est est une idée totalement innovante. « Je ne saurai dire comment il va s’inscrire sur le long terme dans le paysage de la gendarmerie, mais nous pouvons imaginer que ce laboratoire intervienne plusieurs fois dans la carrière de nos militaires« .
Au programme du Zap : navette gratuite à Thionville, le salon de l’habitat, les Mob’s de l’Est et des boulangers mosellans sur petit écran !
Le zap des territoires vous emmène aujourd’hui à Thionville en passant par Hagondange avant de revenir à Marly.
Elle repart pour un tour, la navette électrique Cithi’ bus fait son grand retour à Thionville ! Elle sera disponible entre le 16 septembre et le 22 novembre 2025 et fera le tour du centre ville, soit une boucle d’environ 4km. Le principe reste le même, sauf que la navette passera désormais par la rue Maréchal Joffre. 14 arrêts seront desservis. Les bus passeront toutes les 20 minutes, et seront encore une fois gratuits !
Vous avez un projet de construction, de rénovation ou d’aménagement ? Le salon de l’habitat pose ses bagages à Hagondange les 19, 20 et 21 septembre dans la Salle Paul Lamm. L’occasion parfaite pour rencontrer des professionnels du BTP, et des artisans locaux de confiance. Plus de 30 entreprises seront présentes pour cette première édition organisée par la Capeb. L’entrée est gratuite.
On reste à Hagondange, puisque les Mob’s de l’Est s’exposent le 14 septembre. Passionnés de mobylettes et cyclomoteurs, vous pourrez assister à des démonstrations, une exposition, ou encore une bourse aux pièces. Et il y a même une mobylette à gagner grâce à un tirage au sort ! Alors rendez-vous place Jean Burger le 14 pour cet incontournable des deux roues.
On finit ce Zap en cuisine ! Une boulangerie-pâtisserie de Marly va participer à l’émission « La meilleure boulangerie de France » diffusée sur M6 ! La Vernoiserie mise sur le local : tout est produit à Marly, grâce à plusieurs artisans. Et le couple Thomas et Mathilde compte bien faire briller leurs produits sur petit écran : l’émission devrait être diffusée courant 2026. Qui sait, peut être que les Mosellans remporteront le titre !
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Ce mercredi 10 septembre est marqué par le mouvement national « Bloquons tout », et ce jusqu’en Moselle. Plus de 2 000 personnes ont manifesté à Metz.
Le cortège du mouvement du 10 septembre « Bloquons tout » s’est élancé de la place de la République à Metz en début d’après-midi. En tête, l’intersyndicale est réunie avec FO, la CGT, la FSU, Solidaires et l’UNEF. Sudrail, Snuipp et Sud santé social sont aussi au rendez-vous, ainsi que plusieurs syndicats étudiants. « Non non non, on ne se laissera pas faire(…) répression sociale, on n’en veut pas ! », peut-on entendre à l’unisson. Les manifestants ont achevé leur déambulation place de la Comédie vers 16h. Plus de 2 000 personnes étaient au rendez-vous, selon la police.
La journée de mobilisation s’est déroulée dans le calme en Moselle. Une seule interpellation a été recensée ce matin à Metz selon la police, rien à déclarer dans le reste de la Moselle et pendant la manifestation qui s’est déroulée cet après-midi.
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Un exercice grandeur nature se tient dans la centrale de Cattenom depuis ce lundi. En appui de la sûreté du site, les équipes de la Force d’Action Rapide Nucléaire (FARN) manœuvrent dans le cadre d’une simulation de dégâts graves liés à un séisme.
Depuis trois jours, la centrale nucléaire de Cattenom est le théâtre d’un exercice d’envergure, mobilisant la Force d’action rapide nucléaire (FARN). Un scénario de crise a été simulé : un séisme d’ampleur a endommagé les accès routiers, perturbé les communications et compromis le système de refroidissement d’un réacteur. Objectif pour les 75 équipiers de la FARN et autant de salariés de la centrale : tester leur capacité à réagir et à coordonner leurs actions, sur terre comme dans l’eau, pour garantir la sûreté des installations.
La FARN, une force d’intervention unique
La FARN est une entité spécialisée, capable d’intervenir en moins de 24 heures sur n’importe quel site nucléaire français en cas de situation d’urgence. Créée par EDF en 2011, en réaction à l’accident nucléaire de Fukushima au Japon, cette unité compte 300 hommes et femmes. Ses membres s’entraînent régulièrement pour maintenir leur réactivité et leur autonomie. À Cattenom, ils ont déployé 1 400 mètres de tuyaux – sur les 17 000 mètres disponibles, avec un débit maximal de 300 m³ par heure, pour simuler le rétablissement des circuits de refroidissement.
Un exercice préparé de longue date
Une opération de cette envergure demande six mois de préparation. Il s’agit du quatrième exercice organisé sur le site, après ceux de 2015, 2017 et 2021. Chaque année, une trentaine d’inspections sont menées pour vérifier la robustesse des dispositifs de sécurité.
La sûreté prime
rappelle Jérôme Le Saint, directeur de la centrale
Retour d’expérience et préparation pour l’avenir
Demain, les équipes procéderont au repli et au reconditionnement du matériel. Viendra ensuite le temps des bilans et des apprentissages, essentiels pour affiner les protocoles et se tenir prêts en cas de crise réelle. À Cattenom, la sécurité reste une priorité absolue.
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La justice administrative, sollicitée par le Syndicat des avocats de France, le syndicat de la Magistrature et l’association de défense des libertés constitutionnelles, a tranché. Considérant que la zone de survol autorisée était trop large (couvrant 9 communes dont Metz, Longeville-lès-Metz, Montigny-lès-Metz, Plapeville et Woippy notamment), les 3 caméras censées être installées sur des drones ne peuvent pas survoler la manifestation de ce 10 septembre.
L’arrêté préfectoral, autorisant cette démarche ce jour de 7h du matin jusqu’à la dispersion des manifestants, avait pour but « d’assurer la sécurité des personnes et des biens et prévenir les troubles à l’ordre public (…) dans des lieux particulièrement exposés en raison de leurs caractéristiques ou de faits qui s’y sont déjà déroulés (…). » La justice a de son côté estimé que la préfecture de Moselle n’aurait pas apporté « la preuve que les objectifs de maintien de l’ordre ne pouvaient être atteints sans recourir à l’utilisation des drones », peut-on lire dans un communiqué du tribunal administratif de Strasbourg,
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Ce 10 septembre est marqué par le mouvement national « Bloquons tout », et ce jusqu’en Moselle. À Sarrebourg, Saint-Avold ou encore Metz, les premiers rassemblements se sont tenus. On fait le point.
Le mouvement « Bloquons tout » s’organise à Saint-Avold, marquant surtout sa présence sur un rond-point. En revanche, la mobilisation reste limitée du côté des commerçants, qui ne participent pas à la grève de la carte bancaire.
14h30 – Le cortège vient de s’élancer au départ de la place de la République. En tête de cortège, l’intersyndicale est réuni avec FO, la CGT, le FSU, Solidaires et l’UNEF. Sudrail, Snuipp et Sud santé social sont aussi au rendez-vous, ainsi que plusieurs syndicats étudiants. « Non non non, on ne se laissera pas faire(…) répression sociale, on n’en veut pas ! », peut-on entendre à l’unisson. Les manifestants longent actuellement l’Arsenal Jean-Marie Rausch et achèveront leur déambulation place de la Comédie. 2 000 personnes sont au rendez-vous, selon la police.
La journée de mobilisation s’est déroulée dans le calme en Moselle. Une seule interpellation a été recensée ce matin à Metz selon la police, rien à déclarer dans le reste de la Moselle et pendant la manifestation qui s’est déroulée cet après-midi.
L’académie Nancy-Metz vient de communiquer les taux de grévistes dans le cadre du mouvement social. Sont exclus, les personnels des écoles, établissements majoritairement fermées le mercredi matin. Pour autant, le mouvement ne semble pas très suivi dans le secteur de l’enseignement.
À Saint-Avold, une soixantaine de manifestants a démarré une opération « tracts » vers 8h30 ce mercredi matin, auprès des automobilistes et passants, à hauteur du rond-point situé à côté de la D603. Un barrage filtrant causant de légers ralentissements mais relativement calme. Le tout avec la présence d’une vingtaine de policiers et gendarmes à moto pour veiller à la sécurité.
Même constat à Phalsbourg. Mobilisation attendue en matinée également à Sarrebourg depuis le Jardin de la Liberté puis dès 13h au rond-point des Terrasses de la Sarre.
Pour rappel, cette manifestation intervient après un appel sur les réseaux sociaux à bloquer le pays et son économie pour contester le projet de loi de finances de l’ancien Premier ministre François Bayrou, remplacé après sa démission par Sébastien Lecornu.
À Metz, un premier cortège semble avoir pris la route du centre-ville ce matin vers 8h. Mais le plus gros du rassemblement devrait se tenir à 14h cet après-midi.
La secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a fait le déplacement ce mercredi 10 septembre à Hagondange, pour être aux côtés des salariés de NovAsco.
On l’apprenait le 5 septembre dernier. Aucun repreneur ne s’est positionné sur le site de NovAsco à Hagondange. Deux offres et deux lettres d’intention ont été déposées, mais elles ne concernent que le site de Dunkerque. L’entreprise Metal Blanc se positionne sur le site de Dunkerque, tandis que l’entreprise Europlasma propose une offre sur le périmètre de Dunkerque-Nancy-Custines et Saint-Etienne.
Ce mercredi 10 septembre, journée du mouvement « Bloquons tout », la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a décidé de se rendre sur le site d’Hagondange pour parler aux salariés. « On ne peut pas laisser tomber nos usines, nos industries. Dans ce contrat, signé avec Greybull, il y a une clause qui prévoit que si au 15 septembre, les 88 millions d’euros restants n’ont pas été versés, tous les actifs basculent dans les girons de l’État. Il faut actionner cette clause pour permettre à NovAsco d’avoir plus de temps pour pouvoir construire des offres de reprises », relate Sophie Binet.
Pour rappel, le tribunal de Strasbourg se prononcera le 25 septembre sur le sort de l’entreprise et de ses quelque 740 salariés.
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Ce mardi 9 septembre, vers 22 h, un incendie au sein de la boulangerie La Mie Dorée, située en centre-ville de Saint-Avold, s’est déclaré. Aucune victime n’est à déplorer. La situation est désormais sous contrôle en ce mercredi matin.
Peu avant 22 h, un incendie s’est déclaré rue Hirschaeur, en plein centre-ville de Saint-Avold. Le feu s’est propagé à la boulangerie La Mie Dorée puis s’est diffusé horizontalement vers les bâtiments collés. Les appartements situés au-dessus, inhabités et utilisés pour le stockage de matériel, ont été touchés. Par mesure de sécurité, 6 habitants des immeubles voisins ont été évacués.
Au total, une cinquantaine de pompiers ainsi qu’une vingtaine de véhicules ont été mobilisés pour éteindre cet important incendie. Ce n’est que vers 3 h du matin que le feu a été totalement maîtrisé. Dans la matinée, les pompiers sont restés aux abords du bâtiment pour prévenir toute reprise éventuelle. Une équipe est venue relayer les pompiers de nuit vers 10H du matin. La rue reste fermée à la circulation. De nombreux habitants de Saint-Avold s’arrêtent devant les lieux pour observer les dégâts, jugés importants.
La cause de l’incendie n’a pas encore été révélée. Un expert doit arriver vers 14 h pour analyser la situation. En attendant, la boulangerie reste fermée « pour une durée indéterminée », indique l’établissement dans un post Facebook : « Les dégâts sont considérables. Nous remercions du fond du cœur les pompiers pour leur intervention, et nous sommes soulagés qu’aucune vie n’ait été mise en danger. Cette épreuve est douloureuse pour toute notre équipe, mais vos messages de soutien nous réconfortent énormément. En attendant des jours meilleurs, nous continuerons à vous accueillir dans nos boutiques de Seingbouse, Forbach et Petite-Rosselle. Merci d’être à nos côtés en ces moments difficiles. »
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Quand il s’agit de présenter les joueuses, Thierry Weizman ne manque ni d’imagination, ni de motivation. Lui-même vêtu en tenue de parachutiste, le président de Metz Handball a accueilli l’effectif 2025-2026, descendu d’un avion militaire, à l’aéroport régional Nancy-Metz. Permettant à 200 supporters de vivre ce moment, Metz Handball a été victime de son succès, puisque toutes les places se sont soldées en quelques minutes seulement.
Après une arrivée remarquée des joueuses en tenue militaire ce mardi 9 septembre, ces dernières n’ont pas pris de bain de foule. En effet, les têtes sont déjà concentrées sur leur match du 10 septembre, contre Le Havre aux Arènes. Ce qu’attend le Président pour cette saison ? « Comme toujours, un titre de championnes de France. Et puis si on pouvait faire un tout petit peu mieux au Final 4, ce serait bien.. Mais je vous avoue que je serai très content d’y aller encore une fois, même si c’est pour la quatrième place. » De leur côté, les supporters espèrent cette année voir les Dragonnes toucher le ciel et obtenir le précieux titre…
Gardiennes : Johanna Bundsen, Catherine Gabriel et Sabrina Novotna
Arrières droite : Anna Albek et Laura Schneider (Flippes)
Arrières gauches : Xenia Smits, Betchaïdelle Ngombele et Tyra Axnér
Ailières droites : Manon Errard et Lucie Granier
Ailières gauches : Laura Godard, Suzanne Wajoka et Chloé Valentini
Demi-centres : Lylou Borg, Léna Grandveau et Petra Vamos
Pivots : Anne-Emmanuelle Augustine et Sarah Bouktit (capitaine)
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Du lundi au vendredi pendant une heure, Moselle Info vous présente l’actualité de la Moselle. Édition du 09 septembre 2025.
Une émission présentée par Jean Milon.
Bertrand Munier et l’aventure Peugeot, Ciné-Art et sa programmation art et essai, Hélène Laurain en lice pour le Goncourt, Connemara… on en parle dans La Boîte à M’Alice
Au sommaire de La Boîte à M’Alice (mercredi 10 septembre) :
– Rencontre avec Bertrand Munier « Peugeot le prestige du Lion » éditions du Signe
– La boîte à idées : Stars & Stories ! avec Marina D’Amico (au Casino 2000 de MOndor-les-Bains-
– La boîte à idées : Festival « Parenthèse Nature entre Moselle et Nieds » à Remilly
– Ciné-Klub : Les temps fort de l’association Ciné-Art
– Maria Pourchet et Hélène Laurain en lice pour le Goncourt
– Ciné-Klub : Alex Lutz et Nicolas Mathieu nous parlent de « Connemara » (Entretien complet ici)
Voir l’émission :
Les derniers épisodes de La Boîte à M’Alice :
La Boîte à M’Alice S0702.1 – Alex Lutz et Nicolas Mathieu (Connemara)
La Boîte à M’Alice S0701 – Roland Marcuola, Atelier Mentine, Scala
La Boîte à M’Alice S0644 – Loulou Robert
La Boîte à M’Alice S0643 – Constellations et son parcours d’art urbain
La Boîte à M’Alice S0642 – Constellations de Metz Parcours Nocturne
La Boîte à M’Alice S0641 – Mécleuves Terre de Blues, Paul Couturiau, Mégacourt Rombas
La Boîte à M’Alice S0640 – Vache de Blues
La Boîte à M’Alice S0639 – Bruno Altmayer, Rolf Saint-Agnès…
La Boîte à M’Alice S0638 – Marie-Flore, Bliiida Festival, Penser la Terre…
La Boîte à M’Alice S0637 – Morgan De Cecco, Revival Art, Marly Jazz, Symbiose…
La Boîte à M’Alice S0636 – MAURIZIO CATTELAN (Dimanche sans Pompidou-Metz)
La Boîte à M’Alice S0635 – Passages Transfestival, Photographie mon amour, Théâtre…
La Boîte à M’Alice S0634 – Denis Jaro Sinski, François Narbonni, Nest…
La Boîte à M’Alice S0633 – SOLANN
La Boîte à M’Alice S0632 – Yan Lindingre, Lore Stessel, Barthélémy Toguo, Initium
La Boîte à M’Alice S0631 – Spéciale Livre à Metz
La Boîte à M’Alice S0630 – MAISON HELER (Hôtel Starck), Sébastien Paci, Pierre Villemin
La Boîte à M’Alice S0629 – Olivier Toussaint Loïc, Demey, Ruim Battal
La Boîte à M’Alice S0628 – Photographie mon amour, Nicolas Boutruche, A. de Rancourt
La Boîte à M’Alice S0627 – Fête du Court Métrage, Vinylogies, Tintin…
La Boîte à M’Alice S0626 – LAURENT BAFFIE / La Passerelle
La Boîte à M’Alice S0625 – Petit Niochi, Scènes au bar, Politéïa, Yellow Socks Orchestra…
La Boîte à M’Alice S0624 – Les Francofolies, La Conserverie, Hola Frida…
La Boîte à M’Alice S0623 – Loris Romano, Romain Bernard, Centre Pompidou-Metz…
La Boîte à M’Alice S0622 – JeanLouis Apprédéris, Brass Band des jeunes mosellans…
La Boîte à M’Alice S0621 – Bastien Balt, Pierre Lorin, Jazz au caveau
La Boîte à M’Alice S0620 – Jouer avec le feu (Delphine et Muriel Coulin, Stefan Crepon)
La Boîte à M’Alice S0619 – Bastien Simon, Pierre Hanot, Sainte-Croix…
La Boîte à M’Alice S0618 – ELISE OTZENBERGER & CÉCILE DE FRANCE
Le Président de la République a annoncé ce mardi la nomination de Sébastien Lecornu au poste de Premier ministre, quelques heures après la démission de François Bayrou. Sébastien Lecornu était ministre des armées depuis 2022.
Il n’aura pas fallu longtemps pour connaître le nom du nouveau Premier ministre. Quelques heures après la démission de François Bayrou, Emmanuel Macron a décidé de nommer Sébastien Lecornu, ministre des armées depuis 2022, au poste de Premier ministre.
Chargé par Emmanuel Macron de mener des consultations avec les forces politiques représentées au Parlement, le nouveau chef du gouvernement aura pour mission prioritaire de dégager une majorité capable d’adopter le budget de la Nation et de bâtir les accords nécessaires aux décisions des prochains mois. Il devra également proposer la composition de son gouvernement au Président de la République.
Selon l’Élysée, l’action de Sébastien Lecornu sera guidée par « la défense de notre indépendance et de notre puissance, le service des Français et la stabilité politique et institutionnelle pour l’unité du pays ». Emmanuel Macron a souligné sa conviction qu’« une entente entre les forces politiques est possible dans le respect des convictions de chacun ».
Cette nomination intervient dans un contexte de crise politique. François Bayrou a quitté Matignon mardi midi, après avoir échoué la veille à obtenir la confiance des députés. Sur les bancs de l’Assemblée nationale, 364 parlementaires ont voté contre lui, contre 194 favorables. Un revers qui met fin à un mandat de presque neuf mois à la tête du gouvernement.
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Le FC Metz a présenté aujourd’hui trois recrues fortes de talent et d’expérience : Habib Diallo, de retour au club, Terry Yegbe, jeune défenseur imposant, et Fodé Ballo-Touré, prêt à se relancer après une saison compliquée.
Le mercato estival a fermé ses portes le lundi 1 er septembre dernier. Si après coup, le FC Metz a confirmé la signature de Fodé Ballo-Touré, le club a la croix de Lorraine a pris les devants afin de faire, ou refaire, les présentations avec ses trois dernières recrues estivales. Ainsi, Habib Diallo, Terry Yegbe et Fodé Ballo-Touré, accompagné de Frédéric Arpinon, le directeur sportif grenat, étaient face à la presse ce mardi.
Il est vrai que 120 buts et 34 passes décisives en 350 matchs, ça ne laisse pas les recruteurs indifférents. Encore moins au FC Metz lorsqu’il s’agit d’Habib Diallo. L’enfant de la maison est de retour, malgré « d’autres propositions ».
Dans une attaque en manque d’expérience, le nouveau numéro 30 arrive forcément avec de grandes attentes autour de lui. Mais l’attaquant préfère calmer le jeu et refuse de se voir en sauveur : « L’attente est forte, mais une seule personne ne peut rien faire. On est onze sur le terrain. On doit compter sur tout le monde. Je ne vais pas maintenir le club moi-même, je compte sur l’équipe. » Après deux saisons passées en Arabie saoudite (à Al-Shabab FC puis au Damac FC), le joueur de 30 ans veut désormais se concentrer sur la Ligue 1 et l’objectif maintien : « On va faire le maximum pour prendre des points, surtout dès ce week-end. On va tout donner pour entrer dans ce championnat. »
La prochaine étape est fixée : dimanche, au stade Saint-Symphorien, face au SCO d’Angers. Dans sa tête, Diallo ne se fixe aucune limite : « Il ne faut jamais se donner un objectif de buts, il faut vouloir marquer tout le temps. » Au moins, le message est clair. Et peu importe qu’il retrouve ou non son brassard de capitaine : « Être leader ne dépend pas que du brassard. » Il n’y a plus qu’à.
Les mots de Frédéric Arpinon : « Je vais répéter ce que j’ai entendu la semaine dernière : oui, c’est une aubaine de voir Habib (Diallo) parmi nous. Si on m’avait dit qu’il serait aussi rapidement de retour au club, je ne l’aurais pas cru, je serais même allé le chercher sur mon dos pour qu’il arrive plus vite que prévu. C’est sa volonté à lui de revenir à Metz. C’est important de voir des joueurs qui veulent revenir, ça prouve que le club ne laisse pas indifférent. Ça s’est fait aussi parce que tout le monde était content de faire revenir Habib, le président a fait le reste. C’est vrai que la saison dernière, il était souvent au stade. Je me posais des questions. Jamais je n’aurais cru qu’il puisse nous rejoindre. C’est Habib qui a fait le premier pas. On s’est engouffré dans la brèche.«
Seulement 24 ans, mais déjà une certaine maturité se dégage de Terry Yegbe. C’est d’ailleurs cet atout qui a convaincu le club à la croix de Lorraine de miser sur lui. Pas besoin d’attendre longtemps pour s’en rendre compte, surtout quand il évoque son expérience en Europa League avec Elfsborg, face à des adversaires prestigieux comme Tottenham, Bilbao, l’AS Roma ou encore… l’OGC Nice : « J’ai cette mentalité où je veux toujours briller dans les grands matchs. Je veux faire quelque chose pour que les gens qui regardent sachent que je suis bon. »
Titularisé face au Paris FC (défaite 3-2) par manque de solutions au poste de latéral gauche, son baptême en Ligue 1 n’a pas été de tout repos. « En seconde période, je pense que j’étais un peu fatigué. C’est tout ce que je peux dire. Je ne crois pas que ce fut si difficile pour moi, même si je ne m’étais entraîné qu’un seul jour avec l’équipe. J’ai juste essayé de faire ce que l’entraîneur voulait de moi. »
Avant de se dévoiler davantage sur les terrains du championnat, le fan de David Alaba définit déjà les bases de son profil : « Je suis plus discipliné et agressif, calme avec le ballon, et je communique beaucoup avec mes coéquipiers et tout le monde autour de moi. ». Imposant, sur et en dehors du terrain.
Les mots de Frédéric Arpinon : « C’est un joueur que nous avons suivi très tôt. Nous avons attendu parce qu’il était inaccessible pour nous. Quand nous avons eu l’opportunité d’y aller, avec l’accord du président, nous y sommes allés naturellement parce que c’est un joueur de 24 ans, encore jeune, avec beaucoup de potentiel. Il est aussi mature et possède déjà un peu d’expérience. Il a disputé environ 15 matchs en Ligue Europa, pas contre de petites équipes. Je crois qu’il a joué contre la Roma, l’Athletic Bilbao, Tottenham, beaucoup de grandes équipes. Il vient de réaliser deux saisons pleines avec Elfsborg, en Suède. Il a les qualités dont nous avons besoin dans notre équipe. C’est un joueur physique, mais pas seulement. Il sait jouer au football, il est gaucher. Et il va aussi nous apporter de la maturité, comme Fodé (Ballo-Touré) et Habib (Diallo), parce que nous en avons besoin : notre équipe est assez jeune.«
Lille, Monaco, le Milan AC… oui, c’est un beau parcours. Mais malgré ce CV, Fodé Ballo-Touré arrive en terre messine sous la forme d’un petit pari que le club est prêt à tenter. Libre de tout contrat, le latéral gauche sort d’une saison à seulement 10 matchs avec Le Havre sur une demi-saison, marquée par un mauvais retour de blessure qui le poursuit encore : « Je me suis mal soigné et j’ai voulu reprendre plus vite que prévu. Malheureusement, j’ai dû rechuter. »
Avant de revoir le numéro 97 arpenter les terrains grenats, il faudra encore un peu de patience pour que cette histoire prenne la plus belle tournure possible. « Exactement, ça m’a servi un peu de leçon. On va reprendre petit à petit. On met des choses en place pour que je revienne le plus vite possible. »
Désormais, à lui de concrétiser le choix du FC Metz, bien qu’il ait lui aussi eu d’autres propositions. « Franchement, quand on m’a dit qu’ils étaient sur moi, j’ai dit pourquoi pas. Je vais me relancer, aider l’équipe et surtout, on a tous un objectif en commun : se maintenir. Pour moi, c’est un bon challenge. »
Les mots de Frédéric Arpinon : « On s’est mis assez tôt sur Fodé, je pense qu’il pourra vous en parler. Ça a tardé pour plusieurs raisons, même si on avait un poste où il fallait trouver quelqu’un avec le départ de Matthieu (Udol), mais on ne voulait pas se presser, on a pris notre temps, on a attendu aussi de voir si les problèmes physiques de Fodé étaient résolus et puis, à partir du moment où on a su qu’il n’avait plus de problèmes à sa cheville, on y est allé tout naturellement. Ce sont des joueurs (avec Habib Diallo) qui doivent nous apporter cette maturité du haut niveau dans ce groupe qui est assez jeune. Leur maturité et leur expérience du haut niveau. Il n’y a aucun doute sur lui, il a 28 ans, je pense qu’il a beaucoup de choses à prouver encore. Il a déjà prouvé aussi par le passé, par rapport à son CV, il a évolué dans de grands clubs. »
Toute l’actualité du FC Metz est à retrouver dans le Graoully Mag, tous les lundis et les jeudis à 17h00 sur Moselle TV.
Un épisode orageux a frappé la Moselle dans la nuit de lundi à mardi, et notamment le village de Bambiderstroff.
Un épisode pluvio-orageux a traversé la Lorraine dans la soirée, provoquant d’importantes inondations, notamment en Moselle-est. Deux pics ont été enregistrés, l’un vers 20h30, l’autre au petit matin, aux alentours de 5 heures, moment où les pompiers ont reçu le maximum d’appels.
Au total, 160 sapeurs-pompiers ont été mobilisés pour mener 160 interventions. Ils ont déployé près de 80 moyens matériels, principalement destinés à la reconnaissance, à la protection, à l’épuisement de locaux et à la mise en sécurité des habitants. La zone la plus touchée se situe entre Creutzwald et Saint-Avold. Par exemple, à Longeville-lès-Saint-Avold, une brusque montée des eaux a piégé deux véhicules. Les pompiers et sauveteurs de surface ont pu intervenir rapidement et mettre les automobilistes en sécurité.
Dans les communes, la solidarité s’organise dès les premières heures. À Bambiderstroff, réveillés en pleine nuit par la pluie, les habitants se sont retrouvés les pieds dans l’eau dû aux inondations. Valérie, installée depuis 35 ans dans le village, a vu sa cave inondée. Bottes, balais et pelles sont sortis pour nettoyer les rues recouvertes de boue, de torchis et de gravillons. Certains sont sur le terrain depuis 7 heures du matin, mais tout cela, dans la bonne humeur : café et croissants ont été distribués.
La configuration du village de Bambiderstroff est aussi une raison de ces inondations : le village est comme une cuvette. Si un travail de prévention est engagé, notamment avec le groupe GBMA qui a déjà planté plus de 800 plans de haies le long des routes, les effets de ces aménagements se mesureront surtout sur le long terme. Ces inondations, plus ou moins fréquentes selon l’intensité des pluies, restent récurrentes. Un épisode pluvieux loin d’être isolé. Aucune victime n’est à déplorer.
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Au programme du Zap : la semaine de la mobilité dans la Métropole de Metz, un départ vers le Japon pour Yann Schrub et Auriana Lazraq-Khlass, Europa-Park élu meilleur parc du monde et la Schultüte pour accueillir les enfants en primaire.
La semaine de la mobilité dans l’Eurométropole de Metz
Laissez-vous tenter par les ateliers mobilités proposés par l’Eurométropole… Jusqu’au 27 septembre, plusieurs animations sont prévues : comme le challenge « Bike to future ». L’occasion d’inciter les entreprises à pédaler en équipe pour se rendre sur leur lieu de travail et ainsi réduire l’empreinte carbone des trajets du quotidien. Le 20 septembre, c’est le bus qui sera à l’honneur avec un coup de pouce financier pour les usagers. Le réseau Le MET proposera un prix unique d’un euro sur l’ensemble du réseau à cette date. Retrouvez toute la programmation de cette semaine sur le thème sur www.eurometropolemetz.eu .
Cap sur le Japan pour deux mosellans
Eux devront utiliser leurs pieds au maximum : les Mosellans Yann Schrub et Auriana Lazraq-Khlass se sont envolés pour disputer les Mondiaux d’athlétisme de Tokyo. Après une saison plombée par les blessures, Auriana aura à cœur de se relancer en pleine forme ! Départ vers le Japon aussi pour Yann Schrub, qui a effectué son dernier entraînement, chez lui à Sarreguemines, ce lundi. Ils devraient performer dès le samedi 13 septembre !
Europa-Park élu meilleur parc d’attractions du monde
Après Tokyo, direction l’Allemagne pour faire le plein de sensations fortes : pour la dixième fois de son histoire, Europa-Park est sacré meilleur parc d’attractions du monde. Une distinction qui commence à devenir une habitude pour le site allemand. Seules exceptions : 2020 et 2023. Malgré cela, le parc a su investir et faire évoluer ses attractions pour rester dans le coeur de ses clients.
Une Schultüte pour accueillir les CP
Les élèves de CP de l’école biculturelle de la Blies, à Sarreguemines, ont effectué leur rentrée la semaine passée… Hier, ces derniers ont eu la chance de recevoir une Schultüte, offerte par leurs parrains et marraines de CM1 et CM2. La Schultüte est une tradition allemande qui a pour but de célébrer le passage à l’école primaire et de créer les premiers liens entre petits et grands.
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Depuis le mois de juillet, les serres et la fleuristerie Cathelin, implantées depuis le XIXe siècle au Ban-St-Martin, ont pris la route d’Havange dans le nord de la Moselle.
Les serres d’horticulture et la fleuristerie Cathelin étaient un fleuron du village de Ban-St-Martin. Six générations de la même famille se sont succédées depuis 1833 et depuis une vingtaine d’année, Pascal Cathelin était à la tête de l’établissement indépendant. Mais contraint de rester sur son petit bout de terrain près du centre-ville, avec l’impossibilité de s’étendre et de plus en plus de difficulté de faire venir les usagers et les livreurs dans une petite rue étroite et un parking réduit, la décision a été prise de quitter la banlieue messine.
En juillet, la bascule a été immédiate « même si le déménagement c’était du sport. Le matin on était à Ban-St-Martin, l’après-midi à Havange pour ne pas arrêter l’activité ». L’opportunité a été trouvée de racheter l’entreprise familiale « Tous au Jardin », qui existait depuis 35 ans à Havange, en bordure de l’A30 près de la frontière luxembourgeoise. A 40 km plus au nord des anciennes serres, Pascal est « surpris mais surtout réjouit » de voir des habitués faire le chemin pour le nouvel emplacement.
Il faut dire qu’ici, c’est un « terrain de jeu » de 25 000 m2, dont 4000 pour l’espace de vente, qui est à disposition du nouveau gérant. « Quatre fois plus de surface pour quatre fois plus d’employés, mais quatre fois plus de boulot aussi », sourit-il. A la reprise, il a conservé les 18 membres du personnel, dont plusieurs sont là depuis plusieurs années voire décennies. « Je pense que l’ancien couple de dirigeants, qui a pris sa retraite, a retrouvé en Pascal Cathelin un esprit indépendant et dynamique qui va continuer à nous faire grandir », ajoute Stéphane Coppede, le responsable du magasin.
En plus de ses activités historiques d’horticulture et de fleuristerie, le nouveau gérant pourra « s’appuyer sur les compétences actuelles » pour augmenter son activité : un espace animalerie avec un « dog wash », des rayons de décoration et d’aménagement extérieur, un grand espace saisonnier où le village de Noël s’installera en novembre, mais aussi le vaste parc pédagogique devant le parking, avec des projets déjà dans les cartons…
Invité de Moselle Info, le président du conseil départemental de la Moselle, Patrick Weiten, est revenu sur l’instabilité politique mais aussi la tension autour de Novasco.
« Nous sommes dans le brouillard« . Le ton est donné d’emblée par le président du Conseil Départemental de la Moselle, invité sur le plateau de Moselle Info. Un ressenti en accord avec l’instabilité politique et économique actuelle entraînant des conséquences à l’échelle départementale. « La première conséquence est que nous ne pouvons pas façonner notre budget en 2026. Nous n’avons pas de visibilité« .
Manque de visibilité aussi dans le secteur industriel local. Fils de sidérurgiste, Patrick Weiten n’a pas hésité à soutenir une énième fois l’usine Novasco, toujours sans repreneur sérieux pour être sauvée d’une liquidation définitive. « Lorsqu’il faut défendre notre industrie et notre économie, je réponds toujours présent. Ce serait un drame s’il n’y avait aucune reprise. On dénombre tout de même de 450 emplois. Ce sont 450 familles qui se retrouvent dans le désarroi alors que nous parlons d’une usine exemplaire avec de la sidérurgie verte, car électrique« , ajoute-t-il.
Loin de l’industrie, mais autre point de tension : les effectifs chez les sapeurs-pompiers. Avec l’arrivée de Fabien Didier, nouveau directeur du SDIS57, Patrick Weiten rappelle, suite aux discussions autour de la table, un audit a été enclenché pour repenser le fonctionnement et le financement de l’entité.
« Quand les syndicats disent que le budget du SDIS diminue, c’est faux. Depuis que je suis président du département, le budget a augmenté et la contribution du CD57 a augmenté. Après il y a des limites certaines imposées par les choix de l’État. » Pour cette année, le président fait les comptes : deux millions d’euros de dotation (contrat avec les collectivités) et 5 millions d’euros supplémentaires, « et ce, malgré les coupes budgétaires de l’État qui augmente les charges sans aucune compensation« .
Mais le département souligne tout de même de beaux projets ! À commencer par la modernisation et la végétalisation des collèges. Avec le plan pluri-annuel d’investissement, 10 des 90 établissements mosellans sont dans une phase de rénovation. « Les deux premiers chantiers engagés sont à Stiring-Wendel et à Saint-Avold. Cattenom et Rémilly sont en bonne voie, et nous nous focalisons aussi sur les restaurants scolaires comme dans les communes de L’Hôpital et d’Albestroff. »
L’objectif est inchangé : « ne pas fermer de collège durant ce mandat, l’éducation doit être le premier élément de la proximité sociale en direction des familles pour stabiliser les populations également. »
Autre point : les énergies et nouveaux enjeux environnementaux. La richesse de nos sous-sols mosellans n’est plus à démontrer. Pour preuve : le dernier contrat signé entre la Sarre et la Moselle pour le développement de l’hydrogène vert sur le site Carling-Saint-Avold. Une évidence pour le président du conseil départemental de la Moselle, convaincu que la Moselle entre dans une nouvelle ère économique.
Le plein d’énergie aussi sur le terrain sportif ! La stratégie adoptée « sport partout et pour tous en Moselle » l’était déjà avant les JOP Paris 2024. Et les moyens ont été augmentés de près de 2 millions d’euros, souhaite rappeler le président du conseil départemental. « J’ai constaté une vraie ferveur des jeunes volontaires vers tous les sports. Et je regrette que l’État ait baissé les dotations. Quel message veut-il faire passer ? »
Chaque vendredi, nous vous proposons de découvrir une belle initiative sur le territoire mosellan. Aujourd’hui, focus sur les plantes et les animaux : que faire quand on ne peut pas s’en occuper ?
On commence par nos compagnons à quatre pattes. Quand on part en vacances, il n’est pas toujours possible de les emmener avec nous. Heureusement, il existe des solutions : les pensions, mais aussi les visites à domicile grâce aux petsitters. Le principe est simple : un petsitter vient directement chez vous, nourrit votre animal, joue avec lui et s’assure que tout va bien. Certains envoient même des nouvelles et des photos par SMS ou par mail, histoire de vous rassurer. Pour les chats notamment, c’est l’idéal ! Ils conservent leur territoire, leurs petites habitudes et leurs cachettes préférées. Côté budget, comptez entre 16 et 25 euros pour une visite d’environ 30 minutes par jour, selon les professionnels mosellans.
Après les animaux, place aux plantes. Pour les entretenir pendant notre absence, on fait souvent appel à nos proches. Mais il arrive qu’au retour, on retrouve des feuilles grillées ou des pots desséchés. Mary Tomczak, fleuriste à figa e mimosa, en a déjà fait l’amère expérience. Alors, en 2022, elle a lancé un service original : arroser les plantes de ses clients pendant leur absence. Concrètement, la fleuriste messine de se déplace à Metz et dans un rayon de 10 km autour de la ville. Côté prix, il faut compter 10 euros la demi-heure, avec un supplément d’environ 5 euros pour les trajets en périphérie. De quoi partir l’esprit tranquille et retrouver ses plantes en pleine forme.
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Depuis 2022, une quinzaine de communes mosellanes proposent à leurs administrés une mutuelle communale, un dispositif qui se veut à la fois personnalisé et de proximité. Parmi elles, Amnéville-les-Thermes et, plus récemment, Yutz.
À Amnéville-les-Thermes, comme dans une quinzaine d’autres communes du département, la mutuelle communale est le fruit d’un partenariat entre la municipalité et la Mutuelle familiale. L’objectif ? Négocier un accord qui permet aux habitants d’accéder à une complémentaire santé à des conditions avantageuses, tout en bénéficiant d’un accompagnement de proximité.
Romuald Gueusquin, responsable du centre communal d’action sociale (CCAS) d’Amnéville, souligne l’intérêt de ce dispositif :
«C’est une réponse concrète aux attentes des habitants en matière de santé. La mutuelle communale permet une considération accrue des questions de santé, ce qui paraît primordial dans le contexte actuel.
Lancée il y a trois ans, cette initiative s’étend progressivement en Moselle. Chaque commune qui souhaite proposer cette mutuelle à ses administrés doit d’abord négocier un accord avec la Mutuelle familiale, puis informer et accompagner les habitants dans leur souscription.
À Amnéville-les-Thermes, environ 150 personnes ont déjà adhéré à cette mutuelle, dont Antoine, un administré qui a fait le choix de cette solution pour sa simplicité et son ancrage local.
Pour les élus locaux, cette mutuelle communale représente aussi une manière de répondre aux enjeux de santé publique, en proposant une offre adaptée aux besoins spécifiques des Mosellans. Si le dispositif reste encore méconnu, son développement progressif en Moselle pourrait inciter d’autres communes à suivre l’exemple, pour une couverture santé toujours plus accessible et proche des habitants.
Pour plus d’informations, rendez-vous en mairie ou dans le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de votre commune.
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