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Le FC Metz révise ses gammes en amical face au RFC Seraing

Le FC Metz a disposé du RFC Seraing en match amical au stade Saint-Symphorien (4-1). Une répétition générale pour les remplaçants. De quoi maintenir la dynamique acquise en Ligue 1 pendant cette trêve internationale.

Privé de compétition en raison de la trêve internationale, le FC Metz s’est offert une mise en jambes face au RFC Seraing, son club satellite, dans un Saint-Symphorien à huis clos mais rapidement animé. Et mieux valait ne pas arriver en retard, même sans public.

Dès la troisième minute, les Grenats prenaient les commandes : parfaitement lancé par Ibou Sané, Boubacar Traoré ajustait sereinement le portier belge et ouvrait le score (1-0, 3e). Metz déroulait sur les ailes, notamment grâce au duo Hein–Mélières, et c’est sur une inspiration venue de la droite que Joël Asoro semait de nouveau le trouble. Après un une-deux appuyé avec Morgan Bokele, l’attaquant suédois doublait la mise avec sang-froid (2-0, 29e). À peine le temps de souffler que les Messins remettaient ça. Cette fois, les rôles s’inversaient : Asoro se muait en passeur et Bokele trouvait le chemin des filets pour alourdir la marque (3-0, 32e).

Au retour de la pause, les entrants en jeu participent à la fête. Lancé en profondeur, Morgan Bokele, déjà buteur et en situation de face-à-face, décide de servir l’entrant Malick Mbaye, pour alourdir le score (4-0, 59e). Alors que Boukteb réduisait l’écart sur penalty (4-1, 70e), le petit évènement de ce match était ailleurs. En effet, alors qu’il n’est pas (encore ?) sous contrat avec le FC Metz, Bouna Sarr faisait son entrée en jeu (72e).

La confiance reste au rendez-vous pour FC Metz qui n’aura jamais été mis en difficulté. De leur côté, les remplaçants ont pu retrouver du temps de jeu. Place désormais à la préparation du prochain match de Ligue 1, sur la pelouse du Stade Brestois, le dimanche 23 novembre à 17h15.

Toute l’actualité du FC Metz est à retrouver dans le Graoully Mag, tous les lundis et les jeudis à 17h00 sur Moselle TV.

Dragonnes Mag’ du 14 novembre 2025 avec Clémence Castets

Chaque vendredi l’équipe de Dragonnes Mag’ débat de l’actualité de Metz Handball. Édition du 14 novembre 2025 avec Clémence Castets, ailière de Metz Handball.

Dans cette émission, Matthieu Henkinet reçoit Clémence Castets, ailière de Metz Handball. Habituellement pensionnaire de l’équipe de Nationale 1 Féminine guidée par Nina Kanto, elle a été appelée lors du déplacement à Györ pour rejoindre le groupe professionnel, depuis elle a multiplié les déplacements, à Toulon et à Debrecen avant d’inscrire son premier but en Ligue Butagaz Energie lors de la réception de Plan de Cuques.
Dans cette émission, Clémence Castets revient sur ces expériences récentes mais aussi sur l’actualité de Metz Handball.

Les Dragonnes de Metz Handball recevront l’équipe de Debrecen ce samedi 15 novembre 2025, il s’agira de leur dernier match de l’année. Suivra une longue trêve internationale consacrée au Championnat du Monde au cours duquel l’équipe de France tentera de conserver son titre.

« Les Réussites de Demain » toujours disponible en replay

Le grand format dédié à la saison 2024/2025 de la jeune garde de Metz Handball est toujours disponible en replay.

L’actualité de Metz Handball c’est chaque vendredi à 17h00 sur Moselle TV et en replay sur moselle.tv !

Vers une union difficile de la gauche messine à quatre mois des municipales

Malgré des convergences programmatiques, les tensions politiques et stratégiques freinent toujours la constitution d’une liste unitaire de la gauche messine pour les municipales de 2026.

L’association Faire Tomber Les Murs (FTLM) poursuit sa réflexion autour de l’union de la gauche à Metz, à quatre mois des élections municipales. Après avoir convié, le 27 octobre, les trois chefs de file désignés par leurs partis, Charlotte Leduc (LFI), Jérémy Roques (Écologistes) et Bertrand Mertz (PS), le bureau de FTLM a organisé une rencontre informelle le 6 novembre pour comprendre les raisons de la désunion persistante

Seul Jérémy Roques a répondu présent, tandis que Bertrand Mertz s’est excusé et que Charlotte Leduc n’a ni participé ni délégué de représentant. Les échanges ont permis de dresser un état des lieux sans détour : malgré des mois de discussions entre les neuf composantes politiques concernées, aucune entente concrète n’a émergé. Pourtant, les groupes de travail lancés en mars ont montré une réelle convergence programmatique. 

Les blocages portent principalement sur des divergences stratégiques et des tensions nationales qui rejaillissent au niveau local. FTLM note également la lassitude de nombreux citoyens engagés, inquiets de voir s’éloigner la perspective d’une liste unitaire. Au terme de la rencontre, l’association estime que le temps presse et que le regroupement conduit par Jérémy Roques pourrait devenir le point d’équilibre pour bâtir une liste progressiste la plus large possible. En attendant, la gauche a bien du mal à s’unir, tant sur le plan national que local. 

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Contre la maladie, pour leur maman, une marche solidaire à Morhange

Un cancer cérébral a emporté leur maman le 30 octobre dernier. Pour honorer sa mémoire, et sensibiliser à la maladie, deux soeurs organisent une marche solidaire.

Glioblastome, c’est le nom de cette maladie encore méconnue, et souvent réduite à une tumeur cérébrale, qui a emporté Audrey, 55 ans. Avant son décès, ses deux filles ont dû faire face à des mois de souffrance. « J’avais déjà perdu ma maman avant, ce n’était plus elle, explique Chloé, c’est une maladie perverse où on voit la personne se dégrader. » 

Le glioblastome est le cancer cérébral le plus fréquent chez l’adulte. Il se développe rapidement, à partir des cellules gliales, et peut s’étendre dans plusieurs zones du cerveau. Une maladie méconnue, bien que répandue. « Beaucoup de familles m’ont contactée parce qu’elles avaient vécu la même chose, continue Chloé, on fait aussi tout ça pour elles, pour qu’elles ne se sentent pas seules. » En 2018, 3 481 nouveaux cas de glioblastomes ont été recensés en France. 

Accompagner les familles, mais aussi sensibiliser le plus grand nombre, c’est l’objectif de Chloé, et de sa soeur Marine. Pour l’instant, aucun remède n’existe pour lutter contre ce cancer cérébral. Devenues incollables sur la maladie, les filles comptent bien informer ceux qui le souhaitent. Elles ont créé des flyers, qui seront distribués lors de la marche.

Une cagnotte en ligne est aussi ouverte, tous les dons seront reversés à l’association Des étoiles dans la mer. Ce samedi 15 novembre à l’étang de la Mutche à Morhange, ils seront plusieurs à se réunir pour un parcours solidaire, sur les traces des chemins qu’aimait fréquenter la maman de Chloé. Une centaine de personnes est attendue pour cette marche solidaire, qui rendra hommage à Audrey, décédée le 30 octobre dernier.

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Un incident perturbe le trafic à l’aéroport du Luxembourg

Un avion léger a rencontré des difficultés d’atterrissage hier soir à l’aéroport du Luxembourg, entraînant la perturbation du trafic aérien. 

Un incident survenu ce jeudi soir a temporairement perturbé le trafic aérien à l’aéroport de Luxembourg. Vers 19 h, un avion léger a rencontré des difficultés lors de son atterrissage et s’est immobilisé après avoir parcouru plusieurs centaines de mètres, sans pouvoir dégager la piste. Face à la situation, les équipes ont immédiatement procédé à la fermeture de la piste.

Les deux pilotes ont reçu une prise en charge médicale rapide, tandis que la Police et l’Administration des enquêtes techniques ont mené les premières investigations sur place. Le CGDIS a ensuite engagé les opérations de levage et de récupération de l’appareil. Toutes les procédures de sécurité ont été appliquées sans délai.

Afin de garantir le retour à des opérations sûres, la piste a été minutieusement inspectée puis nettoyée. Elle a finalement pu rouvrir à 23 h 07. Durant la fermeture, plusieurs vols ont été annulés ou déroutés, impactant de nombreux passagers. Aucun autre appareil ni véhicule n’a été impliqué dans l’incident.

L’aéroport indique que la piste n’a subi aucun dommage.

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Moselle Info, l’intégrale du 13 novembre 2025

Du lundi au vendredi pendant une heure, Moselle Info vous présente l’actualité de la Moselle. Édition du 13 novembre 2025.

Une édition présentée par Tim Girard.

Toute l’actualité du territoire est à retrouver du lundi au vendredi à 18h00 dans Moselle Info.

Le Zap : les grands sapins sont arrivés à Sarrebourg ! 

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Au programme du Zap : grands sapins de Sarrebourg, le Graoully survole Metz, Marc Lavoine accompagné du Symphonique de Thionville, et Lisa Dann chante pour Marie et Mathias. 

Les grands sapins de Sarrebourg ont pris place 

Les grands sapins arrivent à Sarrebourg ! Après une petite balade en convoi exceptionnel, les rois des forêts ont pris place à la Gare et Place des Cordeliers. Ils feront briller la ville pendant les fêtes de fin d’année. Mais avant cela, ils devront être décorés et illuminés ! Alors, prêts à fêter Noël ? 

Le Graoully survole Metz grâce à l’intelligence artificielle 

Lui se réveille et veille sur Metz. Le Graoully est de retour et a retrouvé son royaume. C’est en tout cas ce qu’on peut voir sur cette vidéo réalisée par Art et Story Photography et le Café Bleu, à l’aide de l’intelligence artificielle. La représentation du Graoully a été pensé à partir de photos, et de la statue du mythe. Objectif : survoler la ville en même temps que le dragon, et la découvrir.

Marc Lavoine, accompagné du Symphonique de Thionville 

Et si vous découvriez le Symphonique de Thionville, en écoutant du Marc Lavoine ? L’orchestre mosellan accompagne l’artiste sur sa tournée depuis plusieurs mois. Le concert à la Seine Musicale, à Paris, était diffusé hier soir sur France 5. Marc Lavoine a revisité son répertoire, accompagné par les 45 musiciens du Symphonique. Le replay est disponible sur France tv.

Lisa Dann chante pour la mémoire de Marie et Mathias 

10 ans plus tard, les Mosellans continuent de rendre hommage à Marie et Mathias, décédés dans les attentats du Bataclan. Cette fois, en musique. Lisa Dann a sorti un nouveau titre en leur honneur, qui s’appelle « Les 2 M ». Une chanson d’amour émouvante, pour ne jamais oublier. Le titre est disponible sur les plateformes. Tous les bénéfices de son écoute seront reversés à l’association Marie et Mathias. 

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Marie et Mathias : un mémorial où « l’amour fleurit toujours »

Les participants étaient nombreux ce 13 novembre pour rendre hommage à Marie et Mathias, fleurs à la main, autour du mémorial à Metz.

Un triste anniversaire certes… mais une commémoration florale et festive comme le veut la tradition, autour du mémorial Marie et Mathias à Metz. Deux lettres « M » entrelacées, pour ne jamais oublier Marie 23 ans et Mathias 22 ans. Un jeune couple mosellan, parmi 130 autres personnes ayant perdu la vie ce soir-là. Dix ans après les attentats survenus au Bataclan – le 13 novembre 2015, les émotions sont encore fortes, entre soutien, solidarité et volonté de faire vivre leur mémoire sans haine. Un hommage à l’image des deux amoureux, organisé par l’association Marie&Mathias.

Cliquez ici, pour retrouver l’interview de Maurice Lausch, père de Marie, sur le plateau de Moselle Info.

Plongez dans Céleste, l’expérience immersive du Temple Neuf à Metz

Du 14 novembre 2025 au 1er février 2026, le Temple Neuf de Metz s’illuminera avec Céleste, un spectacle immersif alliant mapping vidéo, création sonore et mise en lumière.

Conçu dans la lignée du festival Constellations et en écho à la magie des marchés de Noël, Céleste s’impose comme l’un des temps forts de la saison hivernale de Metz. Pendant quarante minutes, les spectateurs sont invités à un voyage onirique en cinq actes, de la construction du Temple Neuf à une plongée dans les abysses, en passant par une épopée cosmique. Pour transformer les murs, les voûtes et les vitraux en toile vivante, les équipes techniques ont déployé plus de quinze vidéoprojecteurs et une trentaine d’enceintes à l’intérieur de l’édifice. Le son, à la fois clair et enveloppant, mêle envolées classiques et touches rock, créant une bande-son à la fois épique et contemporaine.

Quatre à cinq représentations par soir

Le spectacle sera présenté du 14 novembre 2025 au 1er février 2026, avec quatre à cinq représentations par soir, entre 17 h et 21 h 40. Les tarifs débutent à 12,60 €, avec trois catégories, dont une accessible aux personnes à mobilité réduite. À noter : 1 € par billet sera reversé à la rénovation du Temple Neuf, mêlant ainsi émerveillement artistique et engagement patrimonial.

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“Je me suis demandé si je voulais rester” : Maxime Colin raconte son renouveau au FC Metz

Invité du Graoully Mag’ ce jeudi, Maxime Colin est l’un des acteurs majeurs du renouveau du FC Metz, désormais sorti de la zone rouge en Ligue 1. Tout n’a pas été simple pour le latéral droit, qui aura (presque) tout connu. Au point de laisser le moins bon derrière lui ?

Le football ne laisse pas le temps de respirer. Entre la gifle reçue à Lille (6-1) et la première victoire de la saison face au RC Lens (2-0), les Messins ont changé de visage.
Comment expliquer ce virage ?

« Je pense que c’est un ensemble, avoue Maxime Colin, invité du Graoully Mag’. À l’entraînement, on était parfois un peu trop éloignés de la réalité du match. On en a discuté avec le coach, qui a su nous écouter et ne pas rester figé sur ses choix. Cet échange a compté, tout comme le fait que chacun prenne le temps de se regarder dans le miroir. Parfois, c’est nécessaire pour repartir de l’avant et retrouver un vrai renouveau.« 

Depuis, le club titulaire du Bâton de Bourbotte a enchaîné trois victoires de rang (Lens, Nantes, Nice) et tient la meilleure série actuelle du Championnat. De quoi retrouver un peu d’air après un début de saison cauchemardesque.

Le FC Metz va mieux … et Maxime Colin ?

Le club à la Croix de Lorraine a relevé la tête. Maxime Colin aussi. Titulaire lors de la victoire face à l’OGC Nice ce dimanche (2-1), le défenseur a enchaîné trois matchs de suite dans le onze de départ — une première depuis plus d’un an. L’ancien joueur de Birmingham revient de loin, lui qui a vécu une première saison bien plus pénible que prévue.

« Quand tu arrives après de nombreuses saisons en Angleterre, tu t’attends à rejoindre un club qui tourne bien, surtout quand il vient de monter, raconte-t-il. Je ne m’attendais pas à vivre une première année aussi compliquée. Je ne regrette rien, mais au bout d’un an, il a fallu se poser les bonnes questions et faire un choix. »

Une saison qui a laissé de (trop) nombreuses traces dans les esprits, que ce soit du côté des supporters ou des acteurs alors qu’il est l’un des rares survivants du mercato estival de l’ère Bölöni-Dreossi. « Oui, ça m’a fait du mal, avoue-t-il, d’autant plus que je faisais partie du projet. Ça a été difficile pour tout le monde, mais pour moi aussi, forcément. »

Une confiance retrouvée

Aujourd’hui, le défenseur de 33 ans s’impose à nouveau comme un cadre. Surtout, il sent enfin la confiance de son entraîneur. « À partir du match contre Lens, j’ai vraiment senti que le coach comptait sur moi, confie-t-il. Avant, c’était souvent pour dépanner, à cause d’une blessure ou d’une suspension. Là, c’était un vrai choix de sa part. Et forcément, quand tu sens cette confiance, ça change tout. »

Aujourd’hui, je me sens beaucoup mieux. On va dire que j’ai enfin trouvé ma place dans le vestiaire, ce qui n’était pas forcément le cas avant. Je me sens bien dans la ville, bien dans le groupe… Bref, tout est aligné pour moi en ce moment.

Maxime Colin au sujet du brassard de capitaine du FC Metz

Avant de souffler pendant la trêve internationale, les Messins disputeront un match amical face au RFC Seraing, ce vendredi 14 novembre, à Saint-Symphorien. Une occasion de valider, à huis clos, les progrès entrevus depuis plusieurs semaines.

Toute l’actualité du FC Metz est à retrouver dans le Graoully Mag, tous les lundis et les jeudis à 17h00 sur Moselle TV.

Graoully Mag’ du 13 novembre 2025 avec Maxime Colin

Le Graoully Mag’ c’est l’émission dédiée au FC Metz à retrouver tous les lundis et jeudis sur Moselle TV, édition du 13 novembre 2025.

Pour cette nouvelle émission, Emeric Guillaume était entouré de Franck Signorino, Patrick Muller. Ensemble, ils recevaient Maxime Colin, défenseur du FC Metz.

Au sommaire :

  • Internationaux, Koffi Kouao, les féminines : retour sur l’actualité du FC Metz
  • Les dessous du retour de Maxime Colin et du FC Metz
  • Stéphane Le Mignan, invité du nouveau rendez-vous de L’instant Sport par Moselle TV

Retrouvez les épisodes précédents du Graoully Mag’

Emmanuel Graff / Abel Abélard (…)

Emmanuel Graff dévoile « L’usine secrète », Abel Abélard nous parle de son premier album « Amours farouches » et Ad’line de son dernier opus pop-folk « Un sourire au soleil »

Au sommaire de La Boîte à M’Alice (mercredi 12 novembre 2025) :
– Rencontre avec le réalisateur Emmanuel Graff au sujet de son dernier documentaire « L’usine secrète« 
– Art & Co : Le peintre Jean-Marie Cherruault expose au Carrefour des Arts à Metz
– La boîte à musique : les amours farouches d’Abel Abélard
– La boîte à musique : Ad’line & la pop-folk ensoleillée
– Rendez-vous : Dom Colmé et Cali en concert au 112 de Terville

Voir l’émission :

Les derniers épisodes de La Boîte à M’Alice :
La Boîte à M’Alice S0710 – Vianney Huguenot & Gérard Schlemaire, Jean-Claude Berrar
La Boîte à M’Alice S0709 – Terrenoire
La Boîte à M’Alice S0708 – Hafsia Herzi « La petite dernière », Festival RTT
La Boîte à M’Alice S0707 – Alex Lutz et Nicolas Mathieu (Connemara)
La Boîte à M’Alice S0706 – La bascule (J.Chauvelot, A.Swiatoka-Novais, Nexus VI
La Boîte à M’Alice S0705 – Hélène Laurain « Tambora »
La Boîte à M’Alice S0705 – Roda, L’homme armé
La Boîte à M’Alice S0704 – Théâtre Thionville/Adagio, Géraldine Claus, Pierre Schoeller
La Boîte à M’Alice S0703 – Paul Schnebelen, Cité Musicale Metz
La Boîte à M’Alice S0702 – Bertrand Munier, Ciné-Art, Connemara
La Boîte à M’Alice S0701 – Roland Marcuola, Atelier Mentine, Scala
La Boîte à M’Alice S0644 – Loulou Robert
La Boîte à M’Alice S0643 – Constellations et son parcours d’art urbain
La Boîte à M’Alice S0642 – Constellations de Metz Parcours Nocturne
La Boîte à M’Alice S0641 – Mécleuves Terre de Blues, Paul Couturiau, Mégacourt Rombas
La Boîte à M’Alice S0640 – Vache de Blues
La Boîte à M’Alice S0639 – Bruno Altmayer, Rolf Saint-Agnès…
La Boîte à M’Alice S0638 – Marie-Flore, Bliiida Festival, Penser la Terre…
La Boîte à M’Alice S0637 – Morgan De Cecco, Revival Art, Marly Jazz, Symbiose…
La Boîte à M’Alice S0636 – MAURIZIO CATTELAN (Dimanche sans Pompidou-Metz)
La Boîte à M’Alice S0635 – Passages Transfestival, Photographie mon amour, Théâtre…
La Boîte à M’Alice S0634 – Denis Jaro Sinski, François Narbonni, Nest…
La Boîte à M’Alice S0633 – SOLANN
La Boîte à M’Alice S0632  Yan Lindingre, Lore Stessel, Barthélémy Toguo, Initium
La Boîte à M’Alice S0631 – Spéciale Livre à Metz
La Boîte à M’Alice S0630 – MAISON HELER (Hôtel Starck), Sébastien Paci, Pierre Villemin
La Boîte à M’Alice S0629 – Olivier Toussaint Loïc, Demey, Ruim Battal
La Boîte à M’Alice S0628 – Photographie mon amour, Nicolas Boutruche, A. de Rancourt
La Boîte à M’Alice S0627 – Fête du Court Métrage, Vinylogies, Tintin…
La Boîte à M’Alice S0626 – LAURENT BAFFIE / La Passerelle
La Boîte à M’Alice S0625 – Petit Niochi, Scènes au bar, Politéïa, Yellow Socks Orchestra…
La Boîte à M’Alice S0624 – Les Francofolies, La Conserverie, Hola Frida…
La Boîte à M’Alice S0623 – Loris Romano, Romain Bernard, Centre Pompidou-Metz…
La Boîte à M’Alice S0622 – JeanLouis Apprédéris, Brass Band des jeunes mosellans…
La Boîte à M’Alice S0621 – Bastien Balt, Pierre Lorin, Jazz au caveau
La Boîte à M’Alice S0620 – Jouer avec le feu (Delphine et Muriel Coulin, Stefan Crepon)
La Boîte à M’Alice S0619 – Bastien Simon, Pierre Hanot, Sainte-Croix…
La Boîte à M’Alice S0618 – ELISE OTZENBERGER & CÉCILE DE FRANCE

Mesures de précaution contre la grippe aviaire en Moselle

Depuis la mi-octobre, le risque de grippe aviaire, ou IAHP, est considéré comme « élevé » sur tout le territoire métropolitain. L’arrêté du 17 octobre 2025, publié au Journal officiel le 21, renforce les mesures de prévention. Focus au Zoo d’Amnéville et dans une exploitation avicole.

Le virus H5N1 circule en France depuis 2006. Il s’agit d’une zoonose, une maladie qui peut se transmettre de l’animal à l’homme par contact direct ou via l’environnement. La présence d’oiseaux migrateurs en automne accroît les risques d’introduction du virus dans les élevages et les parcs zoologiques.

Au zoo d’Amnéville, la période migratoire rime avec vigilance. Depuis quelques jours, les vétérinaires et soigneurs s’activent pour vacciner les oiseaux contre la grippe aviaire. Sur les 450 spécimens du parc, environ 400 reçoivent une dose de vaccin, soit près de 75 % de la population. Cette opération se déroule chaque année, ou deux fois par an selon les espèces.

On ne sait pas où la foudre va tomber, mais on essaye de se protéger au maximum

confie Alexis Maillot, directeur zoologique

Les équipes prennent leurs précautions alors qu’à 200 kilomètres, une épidémie touche les grues cendrées. En 2023, des mouettes avaient été contaminées à la Ballastière d’Hagondange.

Dans les exploitations agricoles du département, les pratiques s’adaptent également. À contre-cœur, certains aviculteurs ont choisi la claustration de leurs volailles. Poules pondeuses, pintades ou chapons restent ainsi confinés dans les bâtiments. « Nous navons ni les compétences, ni la technique pour rattraper l’ensemble des poules, les vacciner et les relâcher », indique Jérôme Lecomte qui gère près de 5 000 oiseaux sur son exploitation La p’tite basse cour à Condé-Northen.

Entre vaccination au zoo et confinement dans les fermes, la Moselle se prépare à affronter une nouvelle saison sous surveillance. L’objectif est clair : limiter au maximum les risques de contamination et protéger les animaux.

Retrouvez toute l’actualité du territoire du lundi au vendredi à partir de 18 heures dans l’émission Moselle Info, et rendez-vous sur le site moselle.tv pour visionner nos reportages en replay. 

Stéphane Le Mignan revient sur sa vision du management au FC Metz

Le monde de l’entreprise et celui du football. C’est sur ce parallèle que Stéphane Le Mignan, entraîneur du FC Metz en Ligue 1, est venu s’exprimer lors de l’Instant Sport, devant une cinquantaine de participants.

Le football, il a changé. Une phrase devenue virale de la star de l’équipe de France, Kylian Mbappé. Et pourtant, il n’a pas complètement tort. Le monde du ballon rond partage bien des points communs avec celui de l’entreprise, notamment dans le management : « Le management bouge beaucoup en fonction du public, des joueurs que l’on a, et de l’équipe technique. On a tous des relations différentes, ce n’est pas figé. » explique Stéphane Le Mignan, entraîneur du FC Metz « On ne peut pas s’arrêter sur un fonctionnement d’il y a dix ans. On essaie d’être au contact de choses qui peuvent nous être utiles au quotidien. » Lancé très jeune dans sa carrière d’entraîneur, il reconnaît que ce n’était pas toujours évident : « Quand je commence à 28 ans, je peux avoir une différence d’âge avec certains joueurs qui sont plus âgés ! »

Et lorsqu’on lui demande s’il a changé depuis ses débuts, il acquiesce : « Oui, bien sûr. On a une formation de la Fédération Française de Football qui est très fermée. Ma formation d’il y a 15 ans l’est. Si on ne s’ouvre pas, on reste en difficulté. Il faut trouver des orientations. Avoir une relation avec ses joueurs. » Il pousse même la comparaison plus loin : « C’est un peu comme l’Éducation nationale qui a un manque d’ouverture d’esprit. » Curieux de ce qui se fait ailleurs, Le Mignan s’inspire notamment des pays scandinaves : « Ils ont peu de moyens mais trouvent toujours d’autres solutions. »

Dans un vestiaire de football, les différences culturelles et linguistiques sont marquantes : « Certains parlent français, d’autres anglais chez nous, un tiers du vestiaire est sénégalais et parle donc le wolof. » Par exemple, Jonathan Fisher, le gardien du FC Metz, apprend le français, mais s’adapte selon les situations : au lieu de crier « J’ai ! » comme tout gardien francophone lors d’une sortie aérienne, il préfère « Fish ! ». Tant que la défense comprend, peu importe. Stéphane Le Mignan insiste sur l’importance de mettre les joueurs étrangers à l’aise : « Quand on a fait Tsitaishvili, je l’ai eu au téléphone. J’ai tout de suite dit “il nous faut un autre Géorgien”. J’en ai parlé à Frédéric Arpinon. On a trouvé un profil intéressant qui est aussi arrivé par rapport à ça. »

Mais lors d’un mercato, tout se complique, rappelle-t-il, évoquant un conseil reçu de Carlo Molinari, ancien président du club : « Il m’avait dit que, quand un joueur est marié, il voulait le voir lui et l’épouse. Ça l’aidait beaucoup pour comprendre le comportement de chacun. Aujourd’hui, il y a des structures très pointues dans le recrutement. Il y a de la data mais aussi d’autres aspects, et certains se basent dessus, notamment en Scandinavie. On doit être plus précis dans l’aspect psychologique d’un joueur. »

Football et entreprise, mêmes règles du jeu

Un message central ressort : comme dans le football, une entreprise fonctionne avant tout comme une équipe. Aucune individualité ne doit passer au-dessus du collectif : « Il faut la performance et des résultats positifs. Je crois beaucoup aux convictions qu’on met en place. On n’impose pas, mais ils doivent adhérer au projet. Ils peuvent avoir des doutes, alors on échange, et si le dialogue est bon, on pourra s’expliquer et rectifier. » raconte Staphane Le Mignan.

Même si le mercato estival ne ferme que début septembre, des stages permettent de renforcer la cohésion du groupe : « On ne peut pas avoir les mêmes sensibilités avec tout le monde mais on doit avoir la même vision : le maintien. On fait en sorte qu’il n’y ait pas d’objectifs individuels qui viennent parasiter cela. » À son arrivée en 2024, Le Mignan a d’ailleurs rencontré quelques résistances : « Je sentais des joueurs très réticents à ce que je voulais proposer. Mes adjoints l’ont senti aussi. Au fil de la saison, il y a eu une bascule. Il faut y aller par étapes. »

La dynamique de groupe est, selon lui, essentielle et « peut nous faire passer du bon côté. C’est la clé de la réussite. » Mais après un match, il reconnaît devoir souvent aller « à contre-courant » pour remobiliser ses joueurs, que ce soit après une défaite ou une victoire : « Quand on voit au quotidien un groupe avec de l’énergie positive dans le travail, engagé toute la semaine, je sens que ça va basculer en match. C’est ce qu’ils ont ressenti aussi. »

Autre aspect essentiel : le caractère. « Je pense que mon comportement déteint sur le groupe. Plus l’entraîneur est hystérique, plus les joueurs risquent de l’être. L’année dernière, on est l’une des équipes les moins sanctionnées du championnat. »

Adapter son management sans perdre le collectif

L’erreur fait partie du métier. Au football, elle peut coûter cher, surtout pour un gardien : « On y a droit mais il faut l’analyser. Il existe des erreurs qu’on peut anticiper avec le comportement. Par exemple, Arnaud Bodart s’en est très vite voulu de son erreur face à Ajaccio la saison dernière. » Ses coéquipiers avaient alors été présents pour le réconforter.

Concernant Sadibou Sané et son deuxième carton rouge de la saison face à Toulouse, cet épisode – n’était pas – anodin : « Quand on le voit lors de nos entretiens individuels, on lui explique que c’est logique par rapport aux entraînements qu’il réalisait la semaine. » témoigne Stéphane Le Mignan.

Comme un chef d’entreprise, l’entraîneur doit maintenir une forme d’autorité, mais s’adapte selon les profils : « Le joueur âgé pense à la suite de sa carrière alors que le jeune pense à évoluer en Ligue 1. Celui qui a environ 25 ans pense à performer. Il faut un management qui permette à tout le monde d’être sur le même pied d’égalité tout en s’adaptant à la personne. »

Enfin, Le Mignan revient sur le cas de Cheikh Sabaly, en instance de départ cet été, qu’il décrit comme « une belle personne » : « Je lui donne le brassard pour qu’il soit au cœur du projet. Sans trahir de secret, Cheikh Sabaly donne la moitié de son salaire à son village au Sénégal. Forcément, quand l’Angleterre vient à ta porte et peut te proposer bien plus d’argent… ».

Toute l’actualité du FC Metz est à retrouver dans le Graoully Mag, tous les lundis et les jeudis à 17h00 sur Moselle TV.

Non, la cristallerie basée à Montbronn n’a pas déménagé

La cristallerie Ferstler-Fischer, basée à Montbronn, souffre d’une confusion avec la cristallerie de Montbronn, basée en Alsace. Une confusion, qui lui fait perdre des clients. 

La cristallerie Ferstler-Fischer est basée à Montbronn depuis 1954. Cette entreprise familiale tenue par Édith Fischer taille le cristal dans son atelier situé au sous-sol de l’ancienne maison de famille. Et elle n’a rien à voir avec la cristallerie de Montbronn, si ce n’est le nom de cette dernière, qui laisse planer une confusion chez les clients. 

Une différence notable oppose les deux cristalleries : l’une est placée en redressement judiciaire, celle d’Alsace, et l’autre peine à garder ses clients, qui ne savent plus à quelle cristallerie ils s’adressent. Même les sociétés et les huissiers s’emmêlent les pinceaux. La Mosellane a été sommée de payer des factures, qui n’étaient pas les siennes ! 

Cela fait des mois qu’Edith se bat et se transforme en véritable communicante pour dénouer la confusion. La gérante multiplie les posts sur Facebook, mais cela n’empêche pas une baisse de sa clientèle. Certains acheteurs habitent loin de Montbronn, et finissent par se rendre en Alsace, pensant que la cristallerie mosellane a déménagé à Thal-Drulingen, dans le Bas-Rhin. 

Donc, la cristallerie Ferstler-Fischer n’a pas changé de place, elle est toujours située dans la commune de Montbronn, en Moselle, et vous attend ! 

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Avez-vous vu les aurores boréales dans le ciel mosellan ? 

Les deux dernières nuits ont été marquées par un spectacle hors du commun dans le ciel mosellan. Des aurores boréales ont été observées à l’oeil nu. 

Dans la nuit de mardi 11 au mercredi 12 novembre, et la nuit dernières, le ciel mosellan a offert un spectacle magnifique et rare aux habitants. Des aurores boréales étaient visibles à l’oeil nu. Les amateurs de photographie et d’astronomie ont pu prendre quelques clichés, tous plus impressionnants les uns que les autres. 

Mais pour cela, il fallait rester éveillé ! Souvent visible après 2h du matin, grâce à un ciel dégagé, les aurores boréales attendent la nuit pour se montrer. Voici une des photos prises dans le Pays de Bitche. ⬇️

Crédit photo : Christian Lehnard

À Corny aussi les habitants ont été gâtés, À 3h du matin, le ciel était teinté de rose, de violet, et d’une lumière hors du commun. Regardez. ⬇️ 

Crédit photo : Thierry Hauuy

Voici un autre cliché, cette fois pris à Kaltweiller par Frédéric Éclair, un de nos téléspectateurs. ⬇️

Crédit photo : Frédéric Éclair

C’est grâce à une éruption solaire d’une intensité très élevée que ce phénomène a pu être visible par les Mosellans. Pas de doute, ceux qui l’ont vu s’en souviendront. 

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Crédit photo : Thierry Hauuy

10 ans plus tard, Marie et Mathias toujours dans les mémoires

Le 13 novembre 2015 restera gravé dans les mémoires. 10 ans plus tard, l’association Marie et Mathias continue de rendre hommages aux victimes du Bataclan.

10 ans plus tard, la France entière commémore les victimes des attentats du 13 novembre 2015. En Moselle, les pensées se tournent vers Marie et Mathias, deux Messins décédés au Bataclan. Le père de Marie, Maurice Lausch, était sur notre plateau pour parler de l’association créée il y a 9 ans, et qui continue d’honorer leur mémoire.

Retrouvez le témoignage de Maurice Lausch juste ici.

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Christophe Fontaine élu président de Routes de France Lorraine

La délégation Lorraine des Routes de France a élu son nouveau président : Christophe Fontaine. Il succède à Frédéric Roth.

Réuni à Metz, le Conseil d’administration de Routes de France – Délégation Lorraine a élu à l’unanimité Christophe Fontaine à sa présidence. Actuel directeur régional Alsace-Lorraine du groupe Colas, il succède à Frédéric Roth et Christophe Berghaus.

Âgé de 41 ans, Christophe Fontaine a exprimé sa fierté et sa volonté de « faire vivre un syndicat proche du terrain, connecté aux réalités locales ». Il souhaite engager une démarche collective avec les adhérents afin d’élaborer une feuille de route 2026 « simple et concrète ».

Ses priorités : répondre aux préoccupations du quotidien des entreprises du secteur – délais de paiement, relance de l’investissement, sécurité sur les chantiers, prévention des incivilités – tout en valorisant un métier « utile, moderne et porteur de sens ».

Dans un contexte marqué par l’attentisme des donneurs d’ordres et les incertitudes budgétaires, le nouveau président rappelle le rôle essentiel des infrastructures routières dans la sécurité, le confort des usagers et la transition écologique.

Routes de France Lorraine regroupe 33 entreprises et plus de 3 000 salariés œuvrant au service des mobilités et de l’aménagement du territoire.

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Metz Handball – Plan de Cuques en replay sur Moselle TV

Les Dragonnes de Metz Handball recevaient Plan de Cuques ce mercredi 12 novembre 2025 aux Arènes de Metz. Le match était diffusé en direct sur Moselle TV et vous attend désormais en replay !


Un match commenté par Matthieu Henkinet.

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Justin Corneux, pilote en devenir

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À seulement 16 ans, Justin est déjà un prodige du karting. Portrait d’un jeune pilote bien décidé à se faire un nom dans le monde du sport mécanique.

« J’ai grandi avec la Formule 1 les dimanches, la passion pour l’automobile », confie-t-il devant le circuit de Mirecourt dans les Vosges. Comme son papa, Justin est fan de voitures. Et à sa différence, lui a décidé d’en faire son métier. « J’adore les belles voitures, le sport automobile, mais je n’ai jamais pensé ou voulu faire carrière là-dedans. Je suis architecte de métier, rien à voir avec les sports mécaniques », sourit Benoît Corneux, le père de Justin. Architecte certes, mais une fois rentré à la maison, le papa se transforme en vrai mécanicien.

Une passion devenu un objectif professionnel

Car oui, Justin n’a que 16 ans, mais a déjà une belle maîtrise du volant. Élève en première, il vient de boucler sa toute première saison en karting professionnel. « Je fais du karting depuis mes 7 ans, mais c’est seulement depuis cette année que j’ai décidé de me lancer là-dedans. J’avais fait mon stage de 3e au Metz Kart Indoor à Augny, et à la fin de la semaine, je suis allé voir mes parents et je leur ai dit : c’est bon. Je sais ce que je veux faire plus tard. Je veux devenir un grand champion automobile. »

Un souhait et un rêve presque inaccessible à l’époque pour Justin. Mais ses parents eux, ont décidé de lui donner ses chances, et de le suivre dans cet objectif professionnel. « En tant que parents c’est sûr qu’on a peur. Quand on lance son gamin à 110, 115 km/h sur la piste on n’est pas serein au début. Mais j’ai confiance en lui maintenant, je sais de quoi il est capable. Il nous l’a bien prouvé », ajoute Benoît.

Alors Justin et ses parents ont commencé à financer, acheter les équipements, et Justin s’est retrouvé rapidement sur la piste de Mirecourt, où son écurie, Ideal Kart, se trouve actuellement.

Mon rêve serait de faire les 24 Heures du Mans

« Je suis un grand fan de Sebastian Vettel. Le premier souvenir que j’ai de la Formule 1, c’est en 2014, j’avais 5 ans, et c’est le transfert de Vettel chez Ferrari, une écurie dont j’ai toujours été fan. Ça a été le premier pilote dont j’ai entendu parler, j’avais même une combinaison de lui tout petit ». Mais l’avenir, Justin ne le voit pas en Formule 1.

Lui se voit poursuivre en endurance « les 24 heures du Mans, ça, c’est mon plus grand rêve ». Un objectif professionnel qu’il espère atteindre. Pour l’heure, Justin termine sa toute première saison de karting en tant que vice-champion régional. Un palmarès déjà bien construit.

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