En marge de la manifestation parisienne pour la journée mondiale de la santé, une poignée de soignants se sont réunis à Metz pour crier, une nouvelle fois, leur détresse. A trois jours du 1er tour de la présidentielle, ils espèrent sauver l’hôpital public avant qu’il ne soit trop tard. Au-delà de leurs conditions de travail dégradées, ces professionnels du médico-social craignent la mort annoncée de notre système de soins.
Les explications de Fanny Bragard.