spot_img

Grève du 1er octobre : une rentrée sociale haute en revendications

Au départ de la gare de Metz ce mardi 1er octobre, près de 800 manifestants. Une date qui n’a pas été choisie au hasard : c’est aujourd’hui que le nouveau Premier ministre Michel Barnier a prononcé son discours de politique générale à l’Assemblée Nationale. L’occasion pour les manifestants en grève, d’exprimer leurs revendications.

C’est à l’appel de l’intersyndical qu’ils ont décidé de se réunir dans le cadre de la journée nationale de grève pour les salaires, les services publics et l’abrogation de la loi sur la réforme des retraites.

« Le mardi 1er octobre ne doit pas être une journée de mobilisation parmi tant d’autre ! Il doit être le point de départ d’un mouvement social à même de faire aboutir nos revendications ! », s’exprime la CGT. « La dégradation continue du pouvoir d’achat des personnels de l’Éducation nationale est au cœur des revendications », selon FSU 57.

Enseignants, retraités, personnels soignants, étudiants… ils étaient près de 800 à avancer avec le cortège dans le centre-ville de Metz (700 personnes selon les forces de l’ordre, et 900 à 1 000 personnes selon les syndicats.)

Les syndicats attendent des réponses à leurs revendications à la suite du discours du nouveau Premier ministre.

Retrouvez toute l’actualité du lundi au vendredi à 18 heures, dans l’émission Moselle Info

plus de contenus du même auteur

Nos derniers reportages