Chaque jour c’est plus de 100 000 Lorrains qui traversent la frontière pour venir travailler au Luxembourg. Certains décident de prendre l’A31, d’autres le réseau ferroviaire. Mais entre Metz et le Grand Duché, le trajet devient souvent compliqué. Wagons surchargés, retards et suppressions des trains, c’est le quotidien des frontaliers.