En Bretagne, pour décharger les cabinets médicaux, une cinquantaine de pharmacies sont autorisées à prendre en charge les « petits maux » des patients. Une initiative qui n’est pas à l’ordre du jour en Moselle. Pour Eric Schiltz, Président du syndicat des pharmaciens, il est tout de même nécessaire de repenser les rôles des pharmaciens car le département est en tension.