Selon le média le Parisien, la capitale de la Moselle serait la ville où l’on vit le mieux en France « quand on travaille à Paris et qu’on est en capacité de télétravailler ».
C’est un article de presse paru ce week-end dans le journal le Parisien qui fait la fierté de la municipalité de Metz, en cette fin d’année. En prenant en compte la qualité de vie, la sécurité, le prix de l’immobilier ou encore l’accessibilité à la capitale, Metz serait la ville la plus adaptée pour vivre en région, lorsque l’on travaille à Paris sans y vivre. Avec notamment une dizaine de trains quotidiens desservant la capitale, en 1h20 seulement pour la plupart, difficile pour les 305 autres ville en lice de rivaliser. Le tout au départ d’une gare sacrée à plusieurs reprises « plus belle gare de France », s’il vous plait.
La proximité avec le Luxembourg et la Belgique est aussi citée comme étant un atout ; tout comme « l’offre en commerces abondante » et le fait que « l’on se déplace peu en voiture ». Parmi les points moins positifs, le fait que l’on y « trouve peu de maisons (12,8% des logements) » est à noter, mais « le prix du mètre carré est à moins de 2 300€ selon les données de MeilleursAgents ». Autant de critères portant la note de la ville de Metz à 12,15/20, devant Compiègne (12,09/20) et Orléan (12,09/20).
Parmi les autres villes du Grand Est citées, Strasbourg se distingue à la 4ème place et Hagueneau à la 19ème.
Méthodologie du classement
Sur quoi se base concrètement Le Parisien ? En choisissant les villes en métropole, hors Ile-de-France, de plus de 15 000 habitants, reliées en train à Paris, 306 villes ont ensuite été analysées. « Pour chacune des villes, nous avons associé une quarantaine de critères mesurant la qualité de vie dans la commune, son dynamisme démographique, son environnement, les façons pour les habitants de s’y déplacer (avec un malus pour la voiture), le pouvoir d’achat immobilier (…), sa météo, ses chiffres de sécurité, et évidemment le temps de trajet en train le plus court pour relier la capitale. A partir de ces données, nous avons associé pour chaque critère un coefficient pour ensuite mesurer notre palmarès« , détaille Le Parisien dans son article.
