Le confinement est certes bénéfique pour la nature et pour la qualité de l’air, mais la réduction massive du trafic routier ne suffit pas à inverser le dérèglement climatique.
L’air est plus pur, mais les particules fines, liées notamment aux différentes activités humaines, persistent. Selon Jean-François Husson, Président d’ATMO Grand Est, il va falloir mettre les bouchées doubles si l’on veut atteindre les objectifs fixés par les Accords de Paris.