Le collectif l’Après rejoint « Maintenant pour Metz » pour bâtir une union de la gauche en vue des municipales de Metz en 2026.
Un mois après le lancement du mouvement « Maintenant pour Metz », l’union politique initiée par Jérémy Roques, président du groupe Unis au conseil municipal, vient de recevoir un nouveau soutien. Le collectif « l’Après » a officialisé son engagement aux côtés de cette coalition, qui ambitionne de rassembler les forces de gauche et écologistes en vue des municipales de mars 2026.
Cette adhésion marque, selon les signataires, une étape décisive dans la construction d’un front commun visant à « refermer la parenthèse de la désastreuse gestion de notre ville par François Grosdidier » et à proposer « des projets concrets qui améliorent la vie des Messines et des Messins ».
L’Après s’inscrit dans la dynamique unitaire portée par Maintenant pour Metz, qui a pour l’instant en face deux autres listes de la gauche messine : le PS de Bertrand Mertz (soutenu par les radicaux) ou les LFI de Jean-François Secondé et Charlotte Leduc. Le collectif entend contribuer à la réflexion programmatique autour de priorités partagées : justice sociale, écologie et démocratie participative.
Plusieurs mesures issues des travaux citoyens et soutenues par l’Après figurent déjà dans le programme en préparation : le rétablissement du budget participatif, l’ouverture des commissions municipales aux habitants, ainsi que la création d’espaces de concertation autour des grands projets urbains. « L’Après », fondée en 2024, est une formation de gauche écosocialiste portée par des dissidents LFI comme Alexis Corbière et Clémentine Autain.
