spot_img

En immersion avec un pilote de montgolfière, du briefing à l’atterrissage

Lors de cette première édition d’Enenvol, les pilotes sont nombreux à faire voler leur montgolfière, même si le vent peut parfois jouer de mauvais tours.

À l’aérodrome de Chambley pour l’évènement Enenvol, chaque pilote d’une montgolfière n’attende que le feu vert pour décoller… à condition que la météo le permette. Le vent est trop présent ; par conséquent, les vols prévus à 18h30 sont décalés, voire potentiellement annulés. Mais deux heures d’attente plus tard… drapeau vert ! Tous les pilotes montent dans leur 4×4, prêts à installer leurs nacelles.

Loris, l’un des plus jeunes aérostiers de cette édition, accueille un groupe de cinq personnes. Ces derniers vont l’aider à mettre en place l’engin. Dans un premier temps, ils gonflent le ballon à l’air froid, avant de monter la température. Après une quinzaine de minutes et les derniers réglages effectués, les voilà partis pour leur baptême de l’air. Les passagers profitent des paysages et de cette vue à 360 degrés.

Avec 170 vols par an, Loris n’a clairement pas peur du vide, lui qui a plongé dans l’aéronautique dès son enfance grâce à son père. Un métier-passion où il ne faut pas oublier la technique. Et à seulement 20 ans, il maîtrise comme un pro.

Un vol paisible, silencieux et époustouflant. Mais après une heure dans les airs, il faut penser à redescendre. Alors, les passagers se mettent en position de sécurité. L’atterrissage peu paraître un peu brutal, mais certains sont rassurés d’être à nouveau sur la terre ferme. De retour sur le plancher des vaches, les passagers repartent avec des souvenirs plein la tête.

Le vent peut être le pire ennemi… mais aussi le meilleur allié. Ce soir-là, il aura porté le groupe jusqu’à Laquenexy, sur 40 kilomètres.

Toute l’actualité du département de la Moselle à suivre en direct sur Moselle TV.

Mattéo Philipp
Mattéo Philipp
Journaliste Reporter d'images

plus de contenus du même auteur

spot_img

Nos derniers reportages