Ce jeudi 3 juillet, l’unité de production n°1 de la centrale nucléaire de Cattenom a été reconnectée au réseau électrique national.

Après un arrêt programmé débuté le 15 mars, l’unité de production n°1 de la centrale nucléaire de Cattenom a été reconnectée au réseau électrique, vers 17h30.

Cette « visite partielle », menée tous les dix-huit mois environ, a permis de renouveler une partie du combustible et de réaliser plus de 14 000 opérations de contrôle et de maintenance.

Parmi les interventions majeures : le remplacement de 21 mécanismes de commande des grappes de contrôle, le contrôle complet d’un corps basse pression du groupe turboalternateur et le changement de la partie hydraulique d’une motopompe du circuit primaire. 

Ces travaux, réalisés par EDF et ses partenaires industriels, visent à garantir un haut niveau de sûreté et à anticiper certaines opérations du 4e réexamen de sûreté prévu en 2027.

L’unité de production n°3 est également en arrêt programmé depuis le 10 mai. Les unités n°2 et 4, elles, restent en service et contribuent à l’alimentation du réseau national. La centrale de Cattenom poursuit ainsi sa mission de production d’électricité tout en maintenant un haut niveau de rigueur en matière de sécurité nucléaire.

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Ce vendredi aux alentours de midi, un incendie est survenu à Saint-Avold, au sein de l’entreprise Tripalettes.

Située sur le ban communal de Saint-Avold, l’entreprise Tripalettes a été envahie par les flammes ce vendredi, vers midi. La toiture s’est effondrée, et la structure est endommagée. Le patron a été légèrement blessé au bras, en voulant évacuer des bouteilles de gaz proches des flammes. 

Les pompiers sont intervenus en nombre. La rue de Metz menant de Carling à l’Hopital a été fermée à la circulation. Déviation mise en place. 

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La mairie de Metz a décidé de rallumer les lumières nocturnes dans de nombreux quartiers de Metz, étant donné que plus de 80% des lampes sont passées au LED. 

On rallume les lumières ! Depuis octobre 2022, certains quartiers de Metz sont plongés dans la pénombre, l’éclairage nocturne étant désactivé à partir de minuit. Le but : face face à la flambée des coûts de l’électricité. Désormais, 82% des lampes sont passées au LED. Une transition qui permet une économie d’énergie de près d’1 M€ par an. La mairie de Metz a donc décidé de revenir sur cette décision, et de rallumer la lumière, comme François Grosdidier l’avait annoncé la veille à Moselle TV. 

La lumière revient alors dans les quartiers d’habitat dense : Queuleu, Sablon, La Patronne, Borny ou encore la Nouvelle-Ville. Certaines zones seront encore dans le noir entre minuit et 5h du matin, en semaine, comme Magny, ou Vallières. 

La mise en place d’un éclairage intelligent est aussi en cours. Une nouvelle zone va expérimenter cet éclairage : le Sablon. Une expérimentation est déjà en cours à la Grange-aux-Bois, et semble porter ses fruits. Ce type d’éclairage présente une luminosité moins puissante mais suffisante pour voir devant soi, et lorsqu’une personne est détectée par les capteurs de mouvements, la luminosité augmente. 

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Le procès de Yann Garabas, accusé du meurtre de Hasni Kerrouch à Rombas, s’est ouvert. Après la déposition de l’expert en balistique, la thèse du tir involontaire est privilégiée. 

Les faits s’étaient déroulés en mars 2019 à Rombas. Hasni Kerrouch, 26 ans, décède d’une balle en plein coeur. Yann Garabas, 37 ans, est accusé d’avoir tiré cette balle au fusil à pompe. Jugé pour meurtre, il encourt la peine de 30 ans de réclusion criminelle. 

Le procès s’est ouvert mercredi. Hier, l’expert en balistique rendait ses conclusions. Selon lui, la thèse d’un tir involontaire est privilégiée. Mais les raisons qui ont poussé l’accusé à s’emparer du fusil lorsque la victime s’est rendue à son domicile restent floues. L’ex-compagne de Yann Garabas raconte avoir tenté de retirer l’arme de ses mains, avoir entendu des éclats de voix alors qu’elle était enfermée dans la salle de bain, puis un coup de feu. L’accusé dormait lorsque Hasni Kerrouch, accompagné de deux amis, ont sonné au domicile conjugal. Le porteur du tir s’extirpe de son lit, et braque les trois arrivants. La fin est connue, Hasni Kerrouch meurt dans l’action. 

Le verdict est attendu aujourd’hui. Ce dernier jour d’audience pourrait permettre de connaître la raison pour laquelle Yann Garabas s’est muni d’un fusil à l’arrivée des trois hommes, et pourquoi Hasni Kerrouch a frappé à sa porte ce jour là. 

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Le parquet général de Metz a fait appel de l’acquittement de Pierre Cuignet, accusé d’avoir tué son collègue moniteur d’auto-école d’une balle dans la tête. 

Les faits s’étaient déroulés en novembre 2022. Un moniteur d’auto-école avait été tué d’une balle dans la tête à Longeville-lès-Metz. Pierre Cuignet, son collègue et ami, était accusé du meurtre et avait avancé plusieurs versions avant de plaider l’accident sur fond d’alcool. L’avocate générale avait requis 15 ans de réclusion. 

Dans la surprise générale, l’accusé avait été acquitté. Mais le parquet a fait appel de cette décision. Un nouveau procès aura lieu, dans un délai à définir. Pierre Cuignet comparaîtra libre. Son amie, accusée d’avoir dissimulé l’arme, sera elle aussi jugée à nouveau. 

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