Ce dimanche, un concours de Dog Dancing s’est tenu à Thionville. L’occasion de découvrir cette pratique insolite, dont le mot d’ordre est la complicité.
Aline est Mosellane, et avec son golden retriever Oxy elle pratique le Dog Dancing depuis des années. Ce dimanche, elle participait au concours à Thionville. L’occasion de montrer les enchaînements appris à l’entraînement, et de passer un bon moment avec sa chienne. « Ce que je préfère, c’est l’entraînement, assure-t-elle, c’est tous les moments à côté où je crée du lien avec mon chien. »
Pour participer à ce concours au complexe de Veymerange, certains sont venus de plus loin. Esther est alsacienne, et participe aujourd’hui avec Linette, un berger des Visigos. « C’est toute ma vie, sourit-elle, je mets tout le reste de côté pour participer à ces compétitions. »
Ils sont plus de 1 200 à pratiquer le Dog Dance en France. Le principe est simple, enchaîner des figures et danser avec son chien. Pour cette pratique un mot d’ordre : la complicité. « C’est le plus important, confirme Murielle Kohler, responsable de la section au club canin de Thionville, il y a un lien qui se créer avec l’animal, il ressent tout. »
Une pratique qui nécessite aussi de la patience, et d’éduquer son compagnon. « Si le chien n’a que faire du maître, c’est sûr qu’ils n’y arriveront pas », s’amuse Paul Lang, président du club canin.
Ils étaient 41 à s’affronter ce week-end. Le public a pu profiter d’une centaine de passages, et les chiens se régaler avec les friandises. Un prochain concours officiel aura lieu an août, en Champagne Ardenne.
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Voler en montgolfière oui… mais à condition que la météo soit au rendez-vous ! Et pour que chaque vol se déroule en toute sécurité, ce sont les météorologues qui gardent les yeux fixés sur le ciel.
Inauguré vendredi 25 juillet, l’événement Enenvol n’a pas pu faire décoller ses montgolfières le premier soir. Même scénario deux jours après : la météo, n’était pas au rendez-vous. Et si les ballons de Chambley peuvent prendre de la hauteur, c’est bien sûr grâce aux pilotes, mais aussi et surtout, grâce aux météorologues. Conditions idéales, météo capricieuse… c’est en partie eux qui donnent le feu vert au décollage.
Des critères météorologiques stricts
Pour qu’une montgolfière puisse décoller, plusieurs conditions météorologiques doivent être réunies. Trois critères principaux sont indispensables : le vent, les précipitations et la visibilité.
« Les ballons doivent voler dans certains types de conditions. Par exemple, à partir de 9 à 10 nœuds (environ 20 km/h), ils ne décollent pas », explique Sébastien Verachtert, l’un des deux météorologues présents sur le site d’Enenvol. « De plus, une montgolfière ne doit jamais être mouillée, donc la pluie est rédhibitoire. Et si la visibilité est mauvaise, c’est aussi un critère d’annulation. »
Retour sur les vols annulés
Vendredi 25 juillet et dimanche 27 juillet au soir, les montgolfières n’ont pas pu décoller dans le ciel de Chambley. Une décision prise par la direction des vols et conseillée par les météorologues présents sur le site. On vous explique les raisons :
Le jour de l’inauguration, vendredi 25 juillet, la météo a été particulièrement instable : averses intenses et orages localisés. Malgré l’apparente clarté du ciel par moments, les conditions d’un bon vol n’étaient pas réunies. « Un orage, même à 30 kilomètres, peut impacter la zone de vol. À Chambley, on était dans un couloir d’averses. Les risques étaient trop élevés pour assurer un vol sécurité. »
Le dimanche 27 juillet au soir, la situation était différente mais tout aussi défavorable. Cette fois-ci, le vent fort combiné à des pluies persistantes a contraint l’organisation à annuler à nouveau les vols. « Contrairement à vendredi, où les averses étaient localisées, dimanche, on avait une instabilité bien organisée avec des averses en ligne, un vrai chapelet météorologique. »
Le vol parfait : une question d’équilibre
Quelles sont alors les conditions idéales pour un vol réussi ? Un vent calme permet un vol local, au-dessus des villages environnants. Un vent modéré, sans excès, permet un vol plus long.
Pour mesurer tout cela, les météorologues se basent sur les données officielles de Météo France et des aéroports, croisées avec des modèles prévisionnels et des observations en temps réel.
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Le Nider Groupe fête ses 10 ans. L’association locale en a profité pour organiser une soirée, comme ils savent si bien les faire.
C’est à la Cave que tout a commencé. Un lieu symbolique, où le Nider Groupe organisait déjà ses premiers événements, avant même que l’idée d’en faire un mouvement arrive. Depuis 10 ans maintenant, l’association fait vibrer la Moselle Sud, au rythme de ses soirées. « On est surtout une bande d’amis très soudée, explique Killian, membre du groupe, c’est grâce à cela qu’on fait fonctionner l’association. » Tout s’est lancé à travers la passion des carnavals, évènements auxquels les amis adorent participer.
Des soirées à thèmes, de Sarrebourg à Fribourg en passant par Avricourt, la quinzaine de copains ne fait pas les choses à moitié quand il s’agit de rassembler. Rien ne les empêchera de faire la fête. « L’année dernière, lors de la Summer Party, il pleuvait, on avait de la boue jusqu’aux genoux et pas d’électricité deux jours avant le début de l’événement, raconte François, président, on a tenu le coup, tout le monde s’est mis à fond et tout s’est bien passé. » Un mot d’ordre : détermination, et entraide, c’est avec cette énergie que le Nider mène à bien ses soirées.
Ce 26 juillet, l’heure était à la dernière de l’été. Direction le camping de Mittersheim pour la Festi’Mitt ! Des centaines de personnes ont pu profiter de la base de loisirs pendant le week-end. « Cela fait des années que je suis le groupe, affirme Sébastien Micault, directeur de la zone, j’avais besoin de personnes comme eux car ils organisent des soirées comme personne. »
Un DJ, de quoi boire avec modération et manger, ajouter à cela une météo clémente, quoi de mieux pour passer une bonne soirée ? Le public, lui, était ravi. « C’est toujours des supers moments », nous dit une jeune femme, « On danse, on s’amuse et on mange bien », confirme un homme sur la piste.
Le Nider Groupe a encore de beaux projets devant lui, et compte bien continuer à vous faire bouger !
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Des montgolfières dans le ciel, des animations pour toute la famille et une foule venue en nombre pour vivre l’expérience Enenvol.
L’événement Enenvol a débuté ce week-end. Entre activités, concerts, stands gourmands et jeux en plein air, le site de l’aérodrome de Chambley s’est transformé en un véritable village festif. Et les allées étaient déjà bien remplies. Les visiteurs sont venus en nombre pour la première édition d’Enenvol.
On s’arrête pour un tour de manège, une photo souvenir ou une découverte unique… Ici, pas de quoi s’ennuyer ! Les stands s’enchaînent, tous plus colorés les uns que les autres. Entre créations originales, produits du terroir et animations, chacun trouve de quoi s’émerveiller.
Mais à Enenvol, c’est autre chose qui intéresse les visiteurs : les montgolfières. Après un envol manqué le soir de l’inauguration pour cause de mauvaises conditions météorologiques, les gros ballons ont pu prendre leur envol dès le lendemain matin, avant d’offrir un second spectacle au public le soir. Un moment à couper le souffle.
Les vols sont prévus chaque jour à 6 heures et 19 heures jusqu’au 3 août, en fonction des conditions météorologiques.
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Iwona Becker, 60 ans, est portée disparue depuis le 20 juillet. Sa famille organise de nouvelles battues mardi et mercredi au départ de Hayange pour tenter de la retrouver.
Aperçue pour la dernière fois à proximité de son domicile à Fameck, le 20 juillet dernier vers 13h, Iwona Becker, 60 ans, n’a plus donné signe de vie à ses proches depuis. « Elle traverse des moments très difficiles, elle est fragile. Elle est partie à pieds de la maison sans téléphone, sans papier, sans clés, sans argent… », expliquait sa fille dans un post Facebook quelques heures après sa disparition.
Ces derniers jours déjà, une centaine de personnes s’est mobilisée à Fameck et Florange pour la retrouver, en vain. Une nouvelle battue est donc organisée mardi à 14h au départ du parking de la piscine de Serémange avec ses proches et la gendarmerie. Le lendemain, à 14h, un autre rendez-vous est donné à 14h, au départ de l’hôpital de Hayange.
L’opération consistera, comme précédemment, à fouiller minutieusement des endroits escarpés ou reculés à la recherche de sa trace ou d’indices. Les participants devront se munir d’une application (IGN rando) afin d’enregistrer les zones parcourues. Les détails sont à retrouver sur le groupe Facebook créé pour la retrouver.
Les personnes disposant d’informations pouvant aider à la localiser sont priées de contacter la gendarmerie de Fameck 03 82 52 84 01 ou le 17.
Le Moselle Tour vous fait redécouvrir le territoire tout au long de l’été, dans cette édition rendez-vous au vélorail de Dieuze.
Tout au long de l’été Moselle TV vous propose d’embarquer dans le Moselle Tour ! Montez dans le van avec Jean Milon à la découverte des lieux singuliers du territoire et des personnalités qui les incarnent. Une bonne bouffée d’air frais pour passer la période estivale en toute décontraction.
Dans cette édition du 28 juillet 2025, prenez la direction de la communauté de communes du Saulnois et de Dieuze, où l’ancienne voie ferrée reprend vie sous une forme inattendue : le vélorail. Installé sur les rails désaffectés, ce drôle d’engin à pédales offre une balade paisible entre nature, patrimoine et détente. Rencontre avec le gérant, Wolfgang Schaeffer.
Au centre-équestre du Pâtis à Woippy, 35 pensionnaires sont chouchoutés par les moniteurs et cavaliers.
Depuis 2019, la Fédération française d’équitation a créé le label “bien-être animal” pour valoriser les centres équestres soucieux du bien-être et des conditions de vie de leurs chevaux. C’est le cas du centre équestre du Pâtis, à Woippy, racheté par Léola Viardot en 2020. Pour aller plus loin dans cette démarche, la gérante fait vivre les 35 chevaux en troupeau et en extérieur toute l’année, et enseigne une approche respectueuse de l’animal aux cavaliers du club. Démonstration en images.
Le traditionnel week-end Vita Romana, organisé par le département de la Moselle, fait son retour les 9 et 10 août au parc archéologique européen de Bliesbruck-Reinheim.
Plonger dans la vie de l’antiquité le temps d’un week-end ? C’est possible en Moselle, à Bliesbruck-Reinheim précisément. Au programme de Vita Romana : démonstrations de combat entre Gaulois et Romains, combat de gladiateurs ou encore spectacle de fauconnerie et équestre avec la compagnie Xanthos en collaboration avec la compagnie Caballeria.
Le public pourra aussi participer à une chasse au trésor, à des visites théâtralisées du parc archéologique européen de Bliesbruck-Reinheim et diverses animations interactives. L’événement, qui se tient désormais depuis plus de 25 ans, est accessible au prix de 10 euros ou 6,5 euros en tarif réduit. L’entrée est gratuite pour les moins de 12 ans. Le samedi 9 août, rendez-vous de 12h à 20h30 et de 10h à 18h le dimanche. À noter qu’il est possible de se restaurer sur place.
À 14 ans, Benjamin Stock est monté sur scène afin d’accompagner à la batterie Hoshi sur le titre Ta marinière.
Il devait échanger avec Enzo Gabert, batteur de Skip the Use, actuellement en tournée avec Hoshi, à l’issue du concert. Finalement, le jeune batteur mosellan Benjamin Stock s’est retrouvé sur la scène des Alpagas Bleus à leurs côtés ! « Il y a un batteur incroyable qui a envoyé un message à Enzo tout à l’heure. J’aimerais trop qu’il monte sur scène faire le titre avec nous. Donc où es-tu ? Benjamin, on te cherche ! » a clamé la célèbre chanteuse Hoshi. Ni une, ni deux, le mosellan de 14 ans monte sur scène pour interpréter avec brio le titre Ta marinière devant un public chantant à l’unisson. « Je fais de la musique pour vivre des moments comme ça » a-t-elle écrit dans une vidéo de la scène postée sur Instagram, qui totalise plus de 4 millions de vues. Benjamin, qui avait déjà joué aux côtés d’Indochine devant 12 000 personnes lors de leur concert à Amnéville, n’oubliera jamais ce précieux moment… Et nul doute que d’autres sont à venir.
Auteur d’une saison satisfaisante en Ligue 2, conclue par une place de titulaire et une montée en Ligue 1, Morgan Bokele revient sur ses ambitions pour le retour du FC Metz dans l’élite. L’attaquant évoque aussi sa place au sein du groupe et la préparation, notamment lors du stage à Tubize, en Belgique.
Un peu de physique, une opposition où il alternait entre l’équipe des titulaires et le onze des remplaçants, et Morgan Bokele nous rejoignait tout de suite pour une interview sur la pelouse de Tubize, au centre national du football en Belgique. Tout sourire, on lui demande comment s’est passé l’accrobranche de la veille. Manque de bol pour lui, il était tombé : « Une petite chute, et en plus je suis resté un peu bloqué au milieu sur le parcours nord, puisque après j’ai un peu peur du vide. »
Mais l’attaquant ne cache pas les autres joueurs en difficulté dans les arbres : « Il y a Abou et Giorgi qui sont tombés, mais bon, heureusement que la monitrice du parc était à côté, parce que sinon, je n’aurais pas pu les aider », dit-il avec le sourire. Morgan n’avait jamais fait d’accrobranche, mais peu importe : c’est sur un terrain de football que les supporters souhaitent le voir performer, un domaine qui lui réussit plutôt bien ces derniers mois…
Il y a un an pile, c’était sur ces mêmes terrains à Tubize, en Belgique, que le jeune attaquant revenait de prêt d’Épinal. Aujourd’hui, à 21 ans, lors de ce nouveau stage de préparation, il fait toujours partie des plus jeunes, mais avec une saison complète en Ligue 2 dans les jambes : « Je continue à apprendre des plus anciens. Après, c’est vrai qu’il y a des nouveaux qui arrivent du centre, et j’essaie de les aider, de leur donner mon expérience, ce que j’ai pu vivre jusqu’à maintenant, de leur donner un peu des conseils, comment ils peuvent mieux s’intégrer au groupe et à l’équipe dans le jeu. »
Morgan Bokele a su être patient lors de la saison 2024-2025 — et même bien avant — en partant en prêt à Épinal : « L’idée, c’était de faire un bon prêt, découvrir le monde professionnel. Ensuite, en étant de retour de prêt à Metz, avec le nouveau coach, il m’a permis de mieux rentrer dans le championnat de Ligue 2, de mieux savoir comment gérer une saison de professionnel. Parce qu’on sait que de la Ligue 2 à la Nationale, il y a quand même un niveau d’écart, et il faut quand même s’assimiler, et pas trop être pressé. »
Comme il le dit, il n’est « pas encore un cadre du vestiaire », comme le peu l’être Benjamin Stambouli, mais il est devenu un titulaire du FC Metz lors de la fin de saison et de ses matchs à fort enjeu. Lui qui était le 12ème homme de l’effectif, il a réussi à gagner sa place dans le onze type au fur et à mesure. L’ambition, désormais, est d’y rester lors de sa découverte de la Ligue 1 : « J’aimerais continuer sur ma lancée et enchaîner les matchs, parce que ça fait toujours plaisir plutôt que de faire des bouts de match. Je pense que si je continue comme ça, à faire ce que je fais, et à écouter les conseils du coach, il n’y a pas de raison que ça ne continue pas. »
Désormais, le FC Metz et Morgan Bokele souhaitent se maintenir en Ligue 1. Pour cela, l’attaquant espère « rester en bonne santé et ne pas avoir de blessures » afin d’atteindre ses objectifs personnels : « Continuer à progresser et aider l’équipe par mon explosivité, ma joie de vivre, mon envie sur le terrain, et par des buts et des passes décisives. »
Toute l’actualité du FC Metz en Ligue 1 sera à retrouver dans une nouvelle saison du Graoully Mag
Pour son troisième match amical de l’été, le FC Metz s’est incliné face au RC Lens (2-1) au stade François Blin d’Avion. Il s’agit de la première défaite de la préparation des Grenats.
Le stage à Tubize est terminé pour le FC Metz. Le meilleur moyen de jauger le chemin parcouru cet été est d’affronter un futur adversaire en Ligue 1 McDonald’s : le Racing Club de Lens. L’occasion de retrouver également Matthieu Udol, transféré cet été après un long feuilleton. De son côté, Stéphane Le Mignan a décidé d’aligner deux recrues : Jean-Philippe Gbamin et Giorgi Tsitaishvili.
Lancé par Adrien Thomasson, Martin Satriano trompait Pape Sy en ouvrant le score du pied droit (1-0, 23e). Dans la foulée, le portier messin s’était imposé devant Fodé Sylla, mais le ballon était ensuite arrivé dans les pieds de Morgan Guilavogui, qui n’avait plus qu’à pousser au fond. Seulement, l’arbitre avait signalé une position de hors-jeu (27e). À la pause, les Sang et Or mènent d’un but face à des Messins inoffensifs après 45 minutes.
Au retour des vestiaires, Ousmane Ba avait remplacé Pape Sy. Moins de dix minutes plus tard, Wesley Saïd trouvait Rayan Fofana, qui faisait le break (2-0, 53e). Le FC Metz pensait sauver l’honneur, mais le portier lensois a sorti d’une très belle claquette une tête messine. Sur le corner suivant, Ibou Sané récupérait le ballon au second poteau et permettait finalement aux Grenats de réduire l’écart (2-1).
Pour la première fois de sa préparation, le FC Metz s’incline face à un adversaire qu’il retrouvera le 29 octobre prochain, au stade Saint-Symphorien, lors de la 10e journée de Ligue 1 McDonald’s.
Le onze de départ du FC Metz : Sy – Kouao, Gbamin, Sané, Touré – Deminguet, Stambouli – Tsitaishvili, Hein, Sabaly – Gueye
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Top départ pour Enenvol, sur le site de l’aérodrome de Chambley. L’événement a été inauguré ce vendredi 25 juillet.
C’est parti pour Enenvol sur le site de l’aérodrome de Chambley. Passionnés d’aéronautique, familles et amateurs de grands espaces se sont rassemblés pour assister au coup d’envoi de ce rendez-vous inédit.
Et les choses n’ont pas été faites à moitié. En plus des envols de ballons, les visiteurs peuvent profiter de nombreuses autres animations : espace game, labyrinthe de maïs, fête foraine, vide-grenier, stands d’artisans, envol de doudous,… Près de 250 montgolfières sont prévues, accompagnés des pilotes et de leurs équipes de 18 nationalités différentes. Plus de 300 000 visiteurs sont attendus tout au long de la semaine.
Et même si les conditions météorologiques n’ont pas permis aux montgolfières de s’élever dans le ciel dès le premier soir, il n’a pas fallu attendre longtemps. Dès le lendemain matin, ces géants ballons ont offert un magnifique spectacle.
Les envols sont prévus chaque jour à 6h et 19h, selon les prévisions météorologiques.
Moselle TV ne pouvait pas manquer ce rendez-vous, et vous propose de découvrir en exclusivité dès ce 30 juillet, une émission spéciale dédiée à ce grand événement. Un rendez-vous à retrouver sur moselle.tv
Depuis bientôt une semaine, Iwona Becker reste portée disparue. Sans nouvelles, sa famille organise des recherches autour de Fameck.
Iwona Becker n’a donné aucun signe de vie depuis le dimanche 20 juillet. Âgée de 60 ans, elle a quitté à pied sa maison à Fameck vers 13 heures, sans ses effets personnels. Depuis, ses proches sont sans nouvelles.
Alors que la gendarmerie de la Moselle a lancé un appel à témoins et tente de retrouver la femme, c’est désormais la brigade de recherches qui est en charge de l’affaire. De leur côté, la famille fait tout son possible.
Grâce à une forte mobilisation menée par des affiches et sur les réseaux sociaux, près de 400 membres ont rejoint un groupe WhatsApp pour prêter main-forte à la famille. Les battues se sont élargies depuis plusieurs jours vers les villes et les forêts situées autour de Fameck.
Iwona mesure près d’un mètre soixante et porterait un haut rouge ainsi que des claquettes. Chaque indice peut donc devenir une piste.
Au cours de cette journée, plusieurs battues ont été organisées. Au total, ce sont près d’une centaine de personnes qui se sont mobilisées, réparties en différents groupes. Si vous disposez d’informations, contactez la gendarmerie de Fameck au 03 82 52 84 01 ou composez le 17.
Toute l’actualité du département de la Moselle à suivre en direct sur Moselle TV.
Après une saison intense et un barrage décisif, Benjamin Stambouli revient sur ses émotions fortes et le retour du FC Metz en Ligue 1. Entre préparation physique et esprit d’équipe, il se confie sans filtre en plein coeur du stage à Tubize, en Belgique.
L’entraînement de la matinée est terminé. Juste après le repas, Benjamin Stambouli nous a rejoints dans une salle de conférence du Proximus Basecamp, à Tubize, en Belgique. Un stage de préparation en vue d’une nouvelle saison en Ligue 1 McDonald’s dont la montée s’est jouée en barrage face au Stade de Reims (1-1, 1-3 a.p.). Une affiche et un scénario loin de laisser indifférent le milieu de terrain. « C’était un moment magique, confie-t-il. Ce troisième but, il est synonyme de… « C’est bon, à 99%, on monte ». Et vu le contexte, vu le but qu’il met, j’ai tout qui lâche », raconte le milieu de terrain, vu en larmes sur le terrain après le bu de Gauthier Hein.
Arrivé en septembre, après la fermeture du mercato estival, Benjamin Stambouli ne s’attendait pas à vivre de telles émotions quelques mois seulement après sa signature : « Quand je signe, je me dis… « Il faut faire le taf ». Je viens là pour mon temps de jeu, un peu détaché de toute émotion. Mais forcément, ça se construit, il y a des relations qui naissent, des affinités, et quand tu arrives à la fin comme ça, tu ne peux pas soupçonner qu’il va se passer des choses comme ça. »
Une préparation exigeante et une équipe qui se construit
Désormais, place à l’an II pour l’ancien joueur du Montpellier HSC, du Paris Saint-Germain ou encore de Tottenham. Le stage de préparation en Belgique est rythmé par des séances physiques et des moments dédiés à la cohésion : « On travaille bien. Il y a des plages réservées à la cohésion de groupe. Il y a une bonne ambiance. On sait pourquoi on est là et ce qu’on veut mettre en place pour la saison qui arrive. »
Forcément, l’effectif a changé depuis la fin de saison dernière. Malgré les départs de cadres comme Alexandre Oukidja ou Ismaël Traoré, le capitaine souligne l’équilibre entre jeunesse et expérience : « L’âge moyen a baissé, je suis le plus ancien, mais il y a la mayonnaise qui prend. On s’appuie sur les acquis de la saison dernière avec des jeunes qui montent en puissance. Le leadership est partagé, et c’est important que chacun ait son rôle. »
Le leadership, un rôle clé pour la saison
Le brassard de capitaine a été confié à Gauthier Hein par Stéphane Le Mignan, mais Benjamin Stambouli reste un pilier essentiel du vestiaire du FC Metz. « C’est un rôle important, l’image qu’on représente du club quand on porte ce brassard », affirme-t-il. « J’ai eu la chance de le porter dans ma carrière, et je suis très heureux que Gauthier vive ça. Il pourra compter sur moi comme son bras droit, mais aussi pour épauler le groupe et apporter mon expérience. »
Une Ligue 1 à conquérir avec humilité et ambition
Le FC Metz va retrouver l’élite du football français, une compétition exigeante et qui laisse souvent de mauvais souvenirs ces dernières années. Pour le numéro 21, il s’agit avant tout de défendre « les couleurs du club » et de « montrer qu’on a le niveau ». Conscient des difficultés à venir, il insiste sur la préparation et le travail : « Au plus on travaille, au plus on est cohérents, au plus on se donne de chances de se maintenir. »
« Le club est capable de se maintenir »
Benjamin Stambouli
Le FC Metz est prêt à relever le défi de la Ligue 1, porté par un groupe soudé, expérimenté et ambitieux. Benjamin Stambouli incarne à merveille cet esprit combatif et cette volonté de réussir. Place au terrain.
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Le FC Metz et La Louvière se sont entendus pour le prêt de l’attaquant Pape Moussa Fall, jusqu’à la fin de la saison. Après une saison au RFC Seraing, ponctuée par une grosse blessure, le géant va donc cette fois-ci évoluer en Jupiler Pro League (D1 Belge).
L’effectif du FC Metz continue son ajustement en ce mercato estival. Cette fois-ci, place à un nouveau départ. Pape Moussa Fall, sous contrat jusqu’en juin 2029, va retrouver la Belgique, cette fois-ci avec la RAAL La Louvière, promu en Jupiler Pro League (D1 Belge). La-bas, l’ancien pensionnaire de Génération Foot sera prêté jusqu’à la fin de la saison, avec pour objectif de rebondir après une saison marquée par une rupture des ligaments croisés.
En effet, après un premier prêt au RFC Seraing, la machine Pape Moussa Fall semblait lancée. Après avoir signé avec le FC Metz il y a un an, et après quatre premiers mois convaincants avec le club partenaire des Messins ( 8 buts en 16 matchs toutes compétitions confondues), le grand attaquant sénégalais (2,03m) s’est grièvement blessé et a vu sa saison se terminer prématurément.
Photo : FC Metz
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Le Domaine de la Klauss, membre de Relais & Châteaux, concourt dans trois catégories aux World Luxury Hotel Awards 2025. Son restaurant gastronomique, Le K, a décroché sa première étoile Michelin en 2024 sous la direction du chef Benoît Potdevin.
Le Domaine de la Klauss, situé à Montenach en Moselle, a été sélectionné pour participer aux World Luxury Hotel Awards 2025, un concours international qui distingue chaque année les établissements de luxe les plus remarquables. L’hôtel est en lice dans trois catégories : Luxury Boutique Hotel, Luxury Romantic Hotel et Luxury Small Hotel.
Implanté à proximité des frontières luxembourgeoise et allemande, l’établissement s’est imposé comme une adresse de référence en Lorraine, avec son hôtel-spa et son restaurant gastronomique Le K. Ce dernier, dirigé par le chef Benoît Potdevin, a été désigné Restaurant Gastronomique préféré des mosellans en 2024 et même a obtenu sa première étoile au Guide Michelin la même année.
Les World Luxury Hotel Awards, créés en 2006, regroupent plus de 2 000 établissements nommés dans le monde. Ils récompensent les hôtels d’exception pour la qualité de leur service et de l’expérience client. Les lauréats sont désignés à l’issue d’un vote mondial qui mobilise chaque année plusieurs centaines de milliers de voyageurs. La cérémonie de remise des prix se déroulera le 25 octobre à Barcelone et le 31 octobre à Singapour.
On donne son sang, même en été ! Découvrez le calendrier de collecte de sang du mois d’août en Moselle.
On continue de donner son sang même en été ! La collecte se poursuit au mois d’août en Moselle, en voici quelques dates. Rendez-vous à Boulay le 4, à Metz le 5, à Volmunster le 11, à Amanvillers et Bousse le 14, Audun-le-Tiche le 19, ou encore à Bouzonville le 29.
Pour plus d’informations, retrouvez toutes les dates sur le site de l’établissement français du sang Grand Est. Pour rappel, 1 seul don suffit à sauver 3 vies. 1 million de personnes sont sauvées chaque année grâce à vous.
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Prévu à l’origine sur Moselle TV, le match amical entre l’ESTAC Troyes et le FC Metz ne sera finalement pas diffusé. La rencontre est retirée de la programmation.
La rencontre amicale de pré-saison entre l’ESTAC Troyes et le FC Metz, programmée le samedi 2 août 2025 au Stade de l’Aube, ne sera finalement pas retransmise sur Moselle TV comme initialement prévu, sur décision du club Troyen.
La chaîne prend acte de cette décision et tient à exprimer ses regrets quant à cette modification de programme, indépendante de sa volonté. L’ensemble de l’actualité du FC Metz reste à retrouver sur le site et ses plateformes numériques.
Malgré cet imprévu, la diffusion du match amical opposant le RC Lens et le FC Metz, prévue ce samedi 26 juillet, reste inchangée. Cette rencontre sera à suivre en direct sur notre antenne, en partenariat avec Wéo, la chaîne régionale des Hauts-de-France.
⚽️La préparation monte d'un cran pour le FC Metz ! Pour l’occasion, Moselle TV diffusera, en direct, la rencontre amicale entre les Grenats et le Racing Club de Lens en partenariat avec Wéo. Une affiche synonyme de retrouvailles. 📺Rendez-vous samedi 26 juillet à 17h ! #RCLFCMpic.twitter.com/rsXgOCNUkv
Le Moselle Tour vous fait redécouvrir le territoire tout au long de l’été, dans cette édition rendez-vous au centre ville de Sarrebourg pour découvrir ses place éphémères.
Tout au long de l’été Moselle TV vous propose d’embarquer dans le Moselle Tour ! Montez dans le van avec Jean Milon à la découverte des lieux singuliers du territoire et des personnalités qui les incarnent. Une bonne bouffée d’air frais pour passer la période estivale en toute décontraction.
Dans cette édition du 25 juillet 2025, prenez la direction du Pays de Sarrebourg pour s’arrêter sur les places éphémères de Sarrebourg ! Camille Zieger, premier adjoint de la ville et Roland Klein, président de la communauté de communes Sarrebourg Moselle Sud nous présentent ce nouveau dispositif.
