Plusieurs naissances ont été recensées par le zoo d’Amnéville. Certaines sont assez rares pour être soulignées.

À commencer par le calao de Leadbeater. Une espèce d’oiseau d’Afrique particulièrement sensible et difficile à reproduire car les accouplements naturels se font sous la garde des parents, aidés par les jeunes des années précédentes. « Un mode de vie complexe où les erreurs sont possibles » précise le parc dans un communiqué. « Très peu d’autres couples sont connus pour être capable d’un tel exploit en parc zoologique, fruit d’une balance extrêmement fine et bien maîtrisée par nos équipes entre l’assistance apportée aux parents, et l’autonomie qui leur est laissée ».

Même constat pour le caracara des montagnes, une espèce d’oiseau plutôt rare en captivité. En 2025, seuls trois jeunes sont nés, dont deux ici à Amnéville. Autre naissance exceptionnelle et marquante pour les équipes du zoo : la chouette de l’Oural. Un jeune mâle réintroduit depuis en Bavière comme sa grande sœur l’an passé. De quoi contribuer significativement à la préservation de l’espèce dans cette région d’Europe.

D’autres naissances chez les ouistitis pygmées, sakis à face blanche, tortues-boîtes ou encore lynx des Carpates ont eu lieu depuis ce printemps 2025. Une véritable satisfaction pour les équipes qui ne cessent de s’engager dans la préservation des espèces menacées, dont certaines sont déjà en danger critique d’extinction dans leur milieu naturel.

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Le Marché des Saveurs à Forbach fera la part belle aux produits du terroir et à l’esprit guinguette ce 2 août dès 16h.

Amateurs de fromages affinés, de pâtés en croûte ou encore de vins fruités made in Moselle, le Marché des Saveurs vous attend ce samedi 2 août de 16h à 21h au coeur de Forbach, sur la Place Aristide Briand. Plus de 30 artisans locaux seront présents pour vous faire déguster leurs produits du terroir, mais aussi découvrir leur travail artisanal. Bijoux faits main, objets en céramique, jeux en bois et bien d’autres vous seront proposés.

Ambiance conviviale assurée dans un esprit guinguette, avec dégustations et musique au programme ! Un événement nocturne à ne pas manquer si vous êtes de passage à Forbach.

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Deuxième plus gros fabricant de pièces automobiles en Allemagne, le groupe ZF traverse une mauvaise passe. Le géant industriel envisage la suppression de 14 000 postes dont 4 500 à Sarrebruck. Une perspective qui inquiète fortement les travailleurs frontaliers issus de la Moselle.

Baisse des marchés automobiles conventionnels, absence de décollage des ventes de véhicules électriques… Autant de raisons qui poussent le groupe ZF à revoir sa stratégie et à se séparer d’une partie de son effectif. Sur les trois prochaines années, ce sont 14 000 emplois qui pourraient disparaître. La filiale présente à Sarrebruck, n’échappe pas à cette restructuration. Au moins 4 500 salariés, dont 1 500 frontaliers mosellans, pourraient se retrouver au chômage. Et ce, malgré les différentes mobilisations syndicales menées pour la sauvegarde des emplois.

L’enseigne envisagerait en réalité de se séparer d’une partie de ses activités, la division E (Electrified Powertrain Technologies). Il s’agirait en d’autres termes, de vendre cette unité de fabrication des chaînes cinématiques dédiées aux voitures et véhicules utilitaires. Selon le média allemand Handelsblatt, cette activité représente à elle seule 11,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 25% des ventes du groupe ZF. Parmi les candidats potentiels au rachat, Hyundai et Foxconn (partenaires de ZF) sont évoqués selon le média Electrive.

Au micro de France bleu, Jean-Luc, un employé frontalier de ZF, évoque une situation angoissante qui ne va pas en s’améliorant dans la zone sarroise, suite à la fermeture de plusieurs enseignes comme « Bosch, Michelin ou encore Ford ». La direction de ZF se défend de toute fermeture définitive à condition que la réduction d’effectifs se concrétise.

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Écrouée depuis une semaine après la mort de son bébé de quatre mois à Sarrebourg, la mère a été relâchée ce jeudi.

Le 21 juillet dernier, un homme et une femme d’une vingtaine d’années sont placés en garde à vue à Sarrebourg pour « homicide involontaire » de leur bébé de quatre mois. Quelques heures avant, le nouveau-né est héliporté au CHRU de Nancy dans un état critique, présentant un hématome à l’une de ses tempes, et y décède.

Les deux parents sont alors mis en examen pour « violences volontaires ayant entraîné une infirmité sur mineur par ascendant », « meurtre sur mineur » et « soustraction aux obligations légales de parents » le 24 juillet, puis placés en détention provisoire. Selon l’AFP, la mère de l’enfant aurait interjeté l’appel de l’ordonnance du juge des libertés et de la détention.

Ce jeudi 31 juillet, elle a donc été remise en liberté par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Metz. Elle reste cependant placée sous contrôle judiciaire avec l’interdiction de contact avec son compagnon, l’interdiction de paraître en Moselle et l’obligation de signer dans un commissariat ou une gendarmerie à date précise, selon les informations du parquet de Metz.

Lors de la garde à vue, le père avait donné une version des faits impliquant leur chien qui se serait couché sur l’enfant posé dans son couffin, le 21 juillet au matin, occasionnant des difficultés à respirer et une teinte violacée du visage. Raison pour laquelle il avait été conduit à l’hôpital de Sarrebourg avant de décéder à Nancy. La mère se dit étrangère à toute violence commise sur son enfant, malgré l’autopsie qui aurait démontré le syndrome du bébé secoué, selon les précisions du Républicain Lorrain.

Plus tôt, en avril 2025, le bébé alors âgé d’une dizaine de jours, avait déjà été hospitalisé pour une fracture. Il avait été placé entre le 7 avril et le 11 juillet. Les parents avaient alors plaidé la thèse d’un accident domestique. Le tribunal pour enfants avait ordonné la restitution du bébé à la mère le 11 juillet dernier.

@ AFP France Presse

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Les inscriptions pour la croisière organisée par 1,2,3 Musette et 1,2,3 Dansez sont ouvertes ! Embarquez à bord d’un bateau musical. 

Votre émission préférée vous fait encore une fois voyager ! 1,2,3 Musette vous emmène en croisière, à bord du MSC Orchestra. Du 21 au 28 mai, vous partirez de Marseille avec Pierre-Yves Lombard, Manu Blanchet, et Emily et Jérôme Ortet. Au programme : danse et accordéon, tous les jours de la croisière ! Et bien sûr, des soirées aussi dansantes. Sur le bateau, des piscines, cinq restaurants, mais aussi un spa relaxant vous attendent. 

Vous pouvez déjà réserver vos places, en appelant au 02 41 65 40 22. 

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Ugo Humbert a du déclarer forfait au Masters 1000 de Toronto, après une blessure au dos. 

Ugo Humbert enchaîne les blessures, cette fois c’est son dos qui est touché. Le tennismen était déjà gêné avant son premier match contre l’Américain Emilio Nava. Il a finalement déclaré forfait ce mardi, quelques heures avant le premier tour. Terence Atmane, battu en qualifications, avait été repêché pour ce match. Le Nordiste s’est finalement incliné face à Emilio Nava. 

Mais le Mosellan compte bien continuer son aventure américaine. Il est toujours inscrit au Masters 1000 de Cincinnati, qui commencera dans quinze jours. Espérons que le joueur soit rétabli d’ici-là. À la fin du mois d’août, il devrait aussi disputer l’US Open, du côté de New York. 

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Crédit photo : Instagram Ugo Humbert

Une enquête est en cours après le décès d’un homme, placé en garde à vue dans les locaux du commissariat de police de Metz.

L’homme né en 1988 est décédé dans la nuit de samedi 26 au dimanche 27 juillet au commissariat de police de Metz, alors qu’il était en garde à vue pour vol avec violences.

Une enquête est en cours pour rechercher les causes précises de la mort et les circonstances, d’après le parquet de Metz. C’est la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) qui est en charge de l’affaire. Pour l’heure, les premières constatations du médecin légiste ont écarté tout geste malveillant d’un tiers.

Aucune autre information n’est connue à ce jour.