Après une année difficile, les mirabelles de Lorraine et ses arbres affichent une belle promesse : une récolte abondante et précoce.
On n’appelle pas ça des grappes de mirabelles, mais pourtant, ça y ressemble. Dans ce verger à Hundling, les arbres sont bien remplis. Pour garnir les paniers, il faut avoir l’œil pour trouver les plus beaux fruits. Ici, plus de 90 mirabelliers sont à disposition, pour que chacun puisse se servir et cueillir ses fruits.
En règle générale, la cueillette des mirabelles arrive à la mi-août, mais cette saison 2025 s’annonce bien plus productive par rapport à la précédente. En effet, cette année, il n’y a pas eu de gelées tardives. Et pour ce fruit, c’est précieux : il lui faut au moins 7 degrés entre avril et mai pour bien se développer soit l’équivalent de 1 200 à 1 500 heures de froid.
Les mirabelles de Lorraine représentent à elles seules 80 % de la production mondiale. Une fois cueilli, le fruit d’or prend la route de la confiture, de la tarte ou du bocal de conservation. Enfin, si vous avez réussi à ne pas tout croquer avant…
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Trois surveillants pénitentiaires seront jugés en février 2026 devant le tribunal correctionnel de Metz, pour avoir permis, voire encouragé, des violences entre détenus.
Trois agents pénitentiaires de la prison de Metz-Queuleu comparaîtront les 3 et 4 février 2026 devant le tribunal correctionnel de Metz. Ils sont accusés d’avoir permis, voire encouragé, des agressions entre détenus, selon le parquet.
Quatre prisonniers sont poursuivis pour violences aggravées entre 2017 et 2018, et les surveillants, quant à eux, devront répondre de complicité de violences aggravées. En 2018, au moment des faits, neuf plaintes ont été déposées, mais seules six victimes se sont constituées parties civiles pour ce procès.
« Les victimes étaient tabassées dans leur cellule mais c’étaient les gardiens qui ouvraient les portes en indiquant les pointeurs », a déclaré Thomas Hellenbrand, avocat d’une des parties civiles, selon des informations de l’AFP. Les « pointeurs », des personnes poursuivies pour des atteintes sexuelles dans le jargon des prisons, sont fréquemment victimes de violences de la part d’autres détenus. « Les détenus sont déjà privés de liberté, ils n’ont pas à être en plus privés de sécurité », s’est exprimé l’avocat.
Le procès se déroulera les 3 et 4 février 2026, devant le tribunal correctionnel de Metz.
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Le tennisman messin Harold Mayot s’est qualifié en demi-finale du challenger de Grodzisk Mazowiecki, en Pologne.
Tête de série n°3, Harold Mayot continue sur sa lancée après sa finale au Challenger de Zug. Il se hisse en demi-finale du Challenger de Grodzisk Mazowiecki, en Pologne, pour son premier tournoi estival sur dur de la saison.
Après avoir battu le français Clément Chidekh en 16e de finale du Challenger de Grodzisk Mazowiecki, il s’impose en deux manches (6-4, 6-4) face au chinois Jie Cui et parvient à atteindre les quarts de finale. Ce vendredi 8 août, Harold Mayot se retrouvait donc en quart face à l’italien Giulio Zeppieri, et a largement remporté son match en deux manches (6-3, 6-2).
Le messin, actuellement 156e mondial, se retrouvera face au croate Dino Prizmic (129e mondial) samedi 9 août, pour la demi-finale.
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14 sapeurs-pompiers mosellans sont partis ce jeudi 7 août dans l’Aude pour venir en aide aux personnels déjà mobilisés.
Dans l’Aude, le combat contre les flammes se poursuit. En deux jours, l’incendie a ravagé plus de 17 000 hectares. 2 000 sapeurs-pompiers sont mobilisés.
Ce jeudi 7 août, 14 sapeurs-pompiers mosellans ont pris la route à bord de cinq engins. Direction le sud de la France, pour relever leurs collègues de la colonne de renfort feux de forêt « Est Bravo ». Objectif : poursuivre la lutte sur le terrain et offrir un répit à ceux qui sont engagés depuis plusieurs jours au cœur du brasier.
Depuis le début de la saison estivale, 52 sapeurs-pompiers mosellans ont déjà répondu présent à ces renforts, dans le cadre de la solidarité nationale.
Ce jeudi 7 août au soir, l’incendie était fixé, mais plus de 2 000 soldats du feu restaient mobilisés, de même que plus de 200 gendarmes, appuyés par un dispositif aérien. L’incendie a parcouru 17 000 hectares de végétation en un peu plus de 48 heures, et a coûté la vie à une personne et fait 18 blessés, dont 16 pompiers. Il a également détruit ou endommagé 36 habitations et brûlé 54 véhicules. 2 000 personnes ont été évacuées. Il s’agit du pire incendie depuis au moins 50 ans sur le bassin méditerranéen français, selon une base de données gouvernementale qui répartit les feux de forêt depuis 1973.
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Le Moselle Tour vous fait redécouvrir le territoire tout au long de l’été, dans cette édition cap sur Thionville et Rive en fête.
Tout au long de l’été Moselle TV vous propose d’embarquer dans le Moselle Tour ! Montez dans le van avec Jean Milon à la découverte des lieux singuliers du territoire et des personnalités qui les incarnent. Une bonne bouffée d’air frais pour passer la période estivale en toute décontraction.
Dans cette édition du 8 août 2025, prenez la direction de la Communauté d’Agglomération Portes de France-Thionville et de Thionville pour se reposer et s’amuser à Rive en Fête. C’est Carol Thil, adjointe au maire et présidente de l’APECET qui nous y emmène.
Les vendanges devraient débuter d’ici quelques semaines… et l’année 2025 s’annonce plutôt bonne pour les viticulteurs mosellans.
Dans les coteaux ensoleillés de Moselle, les grappes commencent à s’arrondir doucement. À quelques semaines des premières vendanges, la vigne se porte bien, et l’heure est aux derniers préparatifs. Les premiers à vendanger seront les producteurs de bulles. Car pour faire de l’effervescent, les raisins doivent être cueillis tôt, avec juste ce qu’il faut d’acidité et de sucre.
Avec une météo favorable ces derniers mois, l’année 2025 s’annonce sous les meilleurs auspices. À quelques semaines des premiers coups de sécateur, les vignes mosellanes tiennent leurs promesses. Reste à espérer que le ciel continue de jouer le jeu. « Si on a un beau mois d’août, avec des températures comme ils nous annoncent, c’est-à-dire relativement sèches, où la pourriture ne pourra pas s’installer, avec du vent, la rosée du matin, ça séchera la journée et on va doucement pouvoir accumuler les sucres et produire des raisins qui auront une belle capacité pour faire des vins de macération », explique Eve Maurice, viticultrice et présidente de l’AOC des Vins de Moselle.
Encore quelques semaines de patience avant les premiers coups de sécateur… qui devraient arriver début septembre pour les premières récoltes.
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Recruté il y a quelques jours, les deux dernières recrues du FC Metz, Boubacar Traoré et Jonathan Fischer ont été présentés à la presse ce jeudi.
La conférence de presse de Jonathan Fischer
Jonathan, pourquoi choisissez-vous la France et le FC Metz ?
Pour moi, c’était très simple d’arriver à Metz. J’espère que les gens le verront aussi quand nous allons jouer contre Strasbourg. Pour moi, c’était simple parce que j’ai un intérêt pour Metz. Quand j’ai parlé à Frédéric, au coach et à tout le monde, j’ai pensé que c’était une étape où je pourrais me développer et aussi jouer. Et le plus important pour moi, c’est d’aider l’équipe. C’était génial d’avoir cette opportunité.
Que connais-tu de la Ligue 1 et de ton nouveau club ?
Pour être honnête, je ne connais pas beaucoup la Ligue 1. Je connais bien les Anglais qui jouent ici : Pierre-Emile Hojbjerg (Olympique de Marseille), Mika Biereth (As Monaco), et aussi Kasper Schmeichel (OGC Nice lors de la saison 2022-2023) qui était là il y a quelques années. Metz, c’est un bon groupe avec des joueurs talentueux. C’est une raison pour laquelle je suis venu : c’est un endroit pour se développer. Pour un jeune gardien, c’est ce que tu cherches. La Ligue 1 est plus technique que ce qu’on a en Scandinavie, il faut bien jouer au ballon, créer des occasions, et ne pas juste jouer long.
Vous allez jouer contre les champions européens (le PSG), ça vous excite ?
Oui, mais pour être honnête, je n’y ai pas encore pensé. Hier, un média danois m’a demandé ce que je pensais de jouer contre le PSG ou d’autres grands clubs. Je leur ai dit que je ne savais pas. Il y a deux ans, j’étais footballeur à temps partiel, et trois ans auparavant, j’étais professeur substitut au Danemark. J’essaie de ne pas trop penser loin. Pour le moment, je me concentre sur l’entraînement, puis sur le match de samedi contre Hoffenheim, puis Strasbourg. Et quand viendra le PSG, on en parlera.
Au Danemark, vous étiez professeur substitut, quels cours ?
Mathématiques, danois, anglais, allemand, sciences… pour les enfants jusqu’à 13-14 ans. J’ai un grand cerveau, certains diraient ça. Mais j’aurais espéré être plus intelligent et choisir la France plutôt que l’allemand quand j’étais à l’école, ça aurait été plus facile d’apprendre le français. Mais c’est juste un autre défi, ça sera amusant.
Qui est votre modèle au poste de gardien de but ?
Iker Casillas, s’il faut en choisir un. Aussi Manuel Neuer et David De Gea. Iker Casillas était un des meilleurs à arrêter les tirs, très rapide sur la ligne. Quand j’étais petit, j’étais fan du Barça, je l’aimais et je le détestais parfois, notamment quand il arrêtait des tirs contre Barcelone au Clasico.
Comment te définis-tu en tant que gardien ?
Un bon gardien est rapide sur la ligne, bon sur ses pieds, capable de jouer de l’arrière et d’aider l’équipe, et c’est déjà assez (rires). J’espère que ça me décrit bien. Quand je suis arrivé ici, je savais qu’il y avait des choses à développer.
Maxime Colin m’a dit que vous êtes toujours souriant et heureux, pourquoi cette attitude positive ?
C’est important pour moi. Sur le terrain, j’essaie toujours d’avoir le sourire. Les gens que je croise dans la rue, j’espère qu’ils me sourient aussi. Je veux encourager les autres à être heureux, ne pas garder ça pour moi. Je veux faire sourire tout le monde.
Que pensez-vous de la France, la culture, la cuisine ?
Il y a trop de baguettes, il faut que je m’y habitue, mais j’aime ça. La nourriture est excellente, peut-être grâce au chef ici aussi. Metz est une belle ville, ma copine est contente, elle peut dessiner ici, ce qu’elle ne faisait pas en Norvège.
Votre surnom est Fish, c’est vrai ?
Oui, mon nom est Fischer. C’est trop long à dire dans le foot, donc je dis juste Fish. Tout le monde comprend, sinon j’explique.
Vous semblez très confiant malgré votre jeunesse, vous mettez cela dans votre travail ?
Oui, la confiance est importante. J’essaie de construire cette confiance tous les jours, sur le terrain, à la salle, avec ce que je mange. J’espère que ça se verra en match, et aussi dans la relation avec les défenseurs. Je souris beaucoup parce que je veux être accessible, que les gens viennent me parler. C’est un peu plus difficile ici avec la langue, mais j’apprends le français pour mieux communiquer avec l’équipe.
Vous avez rencontré Alexandre Oukidja ?
Oui, il est très gentil. C’est triste qu’il soit blessé pour 6-9 mois, c’est dur pour lui et pour tout le monde.
L’avis de Frédéric Arpinon sur le transfert de Jonathan Fischer : L’épisode des gardiens a duré beaucoup de temps, mais comme je vous l’ai toujours expliqué, on essaie de ne pas se tromper et de répondre à ce qu’on veut voir sur le terrain. On a attendu et on a eu l’opportunité de faire Jonathan. C’est venu assez tôt, mais comme on n’avait pas les moyens de le faire, on a mis un petit peu de côté. Il répondait vraiment à ce qu’on voulait, ça a été au président de faire la différence. Le président a accepté et a tout fait pour que Jonathan nous rejoigne. Je pense que vous allez le découvrir. Je trouve que pour un club comme Metz, c’est vraiment cohérent de récupérer un joueur comme lui. C’est un jeune joueur avec beaucoup de potentiel, mais qui est déjà prêt pour jouer en Ligue 1. C’était vraiment une bonne opportunité. Je crois que la première fois, c’est son agent qui nous l’a proposé, c’était au mois de juin. Puis bien sûr qu’après, il a été visionné. Et puis aussi, on fait attention aux datas, parce qu’aujourd’hui, les datas, c’est un outil important dans le recrutement.
Le replay de la conférence de presse de présentation de Jonathan Fischer
La conférence de presse de Boubacar Traoré
Avez-vous beaucoup changé en deux ans en Angleterre ?
C’est le même Bouba (rires), j’ai progressé physiquement et dans le jeu. Beaucoup de travail a été fait là-bas.
Qu’est-ce que vous retenez de votre passage en Angleterre ?
C’était une bonne expérience.
Quel est votre objectif maintenant au FC Metz ?
Le maintien avec l’équipe.
Vous arrivez dans un milieu avec des joueurs de qualité, avez-vous hâte de jouer avec eux ?
Oui, j’ai hâte de jouer avec Benjamin, Stambouli, Jessy Deminguet, Gatuhier Hein. Les premiers échanges ont été super.
Qu’attend le coach de vous ?
Il attend tout de moi que j’explose sur le terrain.
L’avis de Frédéric Arpinon sur le prêt de Boubacar Traoré : Je suis très heureux de présenter Bouba aujourd’hui. Ça a été long car récupérer un joueur de Premier League n’est pas facile pour Metz, mais on y est arrivé. C’était important pour le coach et l’équipe d’avoir un joueur à ce poste et ce niveau. Wolverhampton a fait un effort, mais Bouba aussi a fait un effort sur son salaire, preuve de son envie de jouer ici et se relancer. Quand on a su qu’on allait monter, j’ai toujours pensé à lui pour ce poste.
Je suis très heureux d’être de retour. Retrouver mes coéquipiers fait du bien. Je suis là pour aider l’équipe à atteindre ses objectifs, notamment le maintien. Physiquement, je me sens à 100%.
Le replay de la conférence de presse de présentation de Boubacar Traoré :
Toute l’actualité du FC Metz en Ligue 1 sera à retrouver dans une nouvelle saison du Graoully Mag.
Frédéric Arpinon s’est brièvement exprimé sur le mercato du FC Metz en marge de la présentation des deux dernières recrues estivales. Un point rapide, mais révélateur des mouvements à venir.
Le championnat reprendra ses droits le week-end à partir du vendredi 15 août pour les clubs dont le FC Metz, avec la réception du Racing Club de Strasbourg – le dimanche 17 août – malgré l’absence des groupes de supporters. De son côté, le mercato, lui, continue de faire parler, et le fera jusqu’au lundi 1er septembre à 20h00.
Plutôt actif depuis quelques semaines maintenant, le club à la croix de Lorraine ne compte pas s’arrêter en si bon chemin afin d’ajuster son effectif pour ce nouvel exercice en Ligue 1 McDonald’s. Présent en conférence de presse pour présenter ses deux dernières recrues – Jonathan Fischer et Boubacar Traoré – Frédéric Arpinon a fait le point sur la suite des événements sur le mercato pour son FC Metz.
« La priorité du moment, c’est de voir ce qui peut se passer concernant les joueurs susceptibles de nous quitter », avance le directeur sportif du club. L’occasion d’aborder le dossier menant à Idrissa Gueye, puisque le jeune attaquant (18 ans) fait l’objet de convoitises. « Il faut anticiper qu’il puisse nous quitter », précise-t-il.
Dans l’autre sens, les Messins ont déjà officialisé six recrues depuis le début de l’été : Yannis Lawson, Giorgi Tsitaishvili, Giorgi Abuashvili, Jean-Philippe Gbamin, Boubacar Traoré et Jonathan Fischer. Ces dernières semaines, Stéphane Le Mignan avait avoué son envie de recruter un latéral gauche, après le départ de Matthieu Udol. À cela, le directeur sportif a ajouté : « Bien sûr qu’on a perdu Matthieu (Udol) et qu’on regarde pour un latéral gauche, même si, aujourd’hui, on joue dans une animation différente. »
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La sélection brésilienne de volley-ball des moins de 21 ans est en plein stage de préparation en Moselle. L’occasion de suivre un entraînement.
C’est devenu une habitude de les apercevoir ici. Pour le troisième été consécutif, les volleyeurs brésiliens font escale en Moselle. Dans le cadre de la convention conclue entre le Département de la Moselle et la Confédération brésilienne de volley-ball (CBV), le site Academos perpétue les couleurs jaune, bleu et vert.
Nourris et logés, ces jeunes sportifs en profitent pour s’entraîner sur les installations à Verny. Pour Martos Soares, volleyeur brésilien, c’est une belle opportunité : « Nous sommes très heureux, ce n’est pas facile de venir ici, ce n’est pas quelque chose de courant. Nous remercions pour l’opportunité qu’on nous donne d’être dans cet espace, qui est un endroit très sympa pour ceux qui viennent ici. Ce n’est pas tous les jours qu’on vient, nous n’avons pas beaucoup de partenariats avec l’Europe, mais c’est une très belle expérience. L’entraînement ici est très intense et nous sommes heureux. »
En stage de préparation, la Seleção se prépare pour des matchs amicaux, dont deux contre l’équipe de France. Un bon affrontement, selon Anderson Rodrigues, sélectionneur des volleyeurs brésiliens de moins de 21 ans : « En Amérique du Sud, c’est très difficile de jouer contre les Européens. Donc, pour nous, c’est une opportunité précieuse. Nous venons ici depuis deux ans, pour la deuxième année consécutive. J’espère revenir pour dix ans de plus, si possible, et faire en sorte qu’ici, la Moselle, devienne notre maison en Europe. La maison des Brésiliens. »
Les matchs contre les Français se joueront ce jeudi et ce vendredi à 18 h, respectivement à Terville et à Maizières-lès-Metz. Une équipe de Volley du Brésil remplie de talent que l’on pourrait retrouver aux prochains Jeux olympiques de Los Angeles en 2028.
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Julien et Louis, deux vidéastes passionnés d’urbex et partis au Kazakhstan, publient sur Youtube leur arrestation par l’armée russe.
Ils voulaient explorer des vestiges oubliés de la conquête spatiale soviétique. Julien, 25 ans, et Louis, 23 ans, sont deux vidéastes passionnés d’urbex et créateurs de la chaîne Youtube « Aghorn & Louis », lancée il y a un an à Metz. Lors d’une aventure au Kazakhstan, ils ont vu leur passion les emmener bien plus loin qu’ils ne l’avaient imaginé.
Leur objectif : documenter l’intérieur d’une zone abandonnée de la base spatiale de Baïkonour, au Kazakhstan. Un site mythique, en grande partie toujours sous contrôle russe.
Malgré une préparation minutieuse, leur aventure prend une tournure inattendue : repérés par des gardiens, ils sont arrêtés par l’armée russe, emmenés et interrogés pendant quatre heures dans une zone interdite aux étrangers. Grâce à une caméra dissimulée, les deux amis continuent de capturer ces moments inédits et parviennent, à leur retour en France, à récupérer les images effacées par les soldats russes sur les autres caméras.
Les deux youtubeurs ont sorti leur vidéo, témoignage rare et inédit de cette aventure. Au bout d’une semaine, elle cumule plus de 13 000 vues.
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Le Moselle Tour vous fait redécouvrir le territoire tout au long de l’été, dans cette édition cap sur l’espace réemploi à Hayange et la recyclerie à Uckange.
Tout au long de l’été Moselle TV vous propose d’embarquer dans le Moselle Tour ! Montez dans le van avec Jean Milon à la découverte des lieux singuliers du territoire et des personnalités qui les incarnent. Une bonne bouffée d’air frais pour passer la période estivale en toute décontraction.
Dans cette édition du 7 août 2025, on prend la direction de la Communauté d’agglomération du Val De Fensch pour comprendre comment ce territoire s’implique et s’investit dans le tri et la revalorisation d’objets jetés. Jean-François Medves, vice-président à la CA du Val de Fensch en charge de l’environnement et Sébastien Camus, responsable de la recyclerie, vont nous expliquer comment l’économie circulaire se concrétise dans les déchetteries et à la recyclerie.
Saisie par les douanes, une tortue Kinixys homeana, espèce classée en danger critique d’extinction, vient de rejoindre le Zoo d’Amnéville.
Le 16 juillet dernier, les services des Douanes de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle découvrent une tortue dissimulée dans une valise en provenance de Côte d’Ivoire, animal prélevé dans son milieu naturel. Mais pas n’importe quelle espèce : une Kinixys homeana, espèce classée en danger critique d’extinction par l’IUCN !
Les services douaniers de l’aéroport Charles de Gaulle ont saisi une tortue en danger d’extinction.
Arrivée dans un état préoccupant, la tortue Kinixys homeana est sous étroite surveillance.
Les équipes du Zoo d’Amnéville ont l’habitude de collaborer avec les services de l’État face au trafic illégal d’animaux sauvages.
Seul parc zoologique habilité à héberger cette espèce tropicale en France, le Zoo d’Amnéville a répondu favorablement pour accueillir la tortue en Moselle. « La Kinixys homeana nécessite des conditions particulières d’hygrométrie et de température, qui n’ont malheureusement pas été respectées lors de son transfert illégal en avion » explique le zoo dans un communiqué. La tortue est donc arrivée dans un état préoccupant et reste sous étroite surveillance. « Sans connaissance précise de son lieu de prélèvement, la relâcher dans la nature reviendrait à la condamner« .
Le Zoo collabore régulièrement avec les services de l’État (Douanes, gendarmerie, OFB) pour œuvrer contre le trafic illégal d’animaux sauvages comme cette tortue. Chaque année, une vingtaine d’animaux protégés sont victimes de situations comme celle-ci.
« Nous remercions sincèrement ces corps d’État pour leur réactivité et leur engagement dans ce combat qui nous tient particulièrement à cœur » précise Thomas Grangeat, Directeur Zoologique adjoint, qui s’est rendu personnellement à Roissy pour prendre en charge l’animal.
Accidentellement endommagée par un engin agricole, la croix de Noisseville sera remise en état, mais changera peut-être d’emplacement.
Démolie accidentellement par le passage d’un engin agricole fin juillet, la croix de Noisseville devra subir une restauration. Auparavant installée entre la voie Romaine et et les Pinots Mêlés, « Monsieur le Maire se questionne sur l’intérêt de le remettre à l’endroit initial afin de ne pas subir le même préjudice à l’avenir. Il est ouvert à toute proposition cohérente qui amènerait à le positionner ailleurs dans le village« , peut-on lire sur la page Facebook de la commune. Pour autant, les premiers commentaires sous la publication laissent présager un retour au même endroit, afin de préserver l’histoire.
En attendant, bonne nouvelle : la remise en état sera faite quasiment à l’identique « car tous les éléments peuvent être récupérés » ajoute la municipalité. L’occasion, peut-être, d’aménager un panneau explicatif sur l’histoire de cette croix. Le Maire, « demandeur de toutes informations historiques en lien avec ce monument » est joignable par mail à l’adresse schutz.mairie.noisseville@outlook.fr.
En août 2021, la commue avait fait face au vol de sa statue « La Lorraine qui pleure » du Monument aux morts. Après sa reconstruction totale, elle avait été inaugurée en octobre 2023.
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Les droits de douane américains (ou « tariffs » en anglais) souhaités par Donald Trump, sont entrés en vigueur ce 7 août. Comme le Japon ou la Corée du Sud, l’Union européenne est désormais concernée par un taux de 15 %.
Vins et spiritueux, automobile, cosmétique, acier… La liste des produits européens taxés à hauteur de 15% n’est pas encore détaillée en totalité. Mais les droits de douane américains, souhaités par le président Donald J. Trump, sont tout de même entrés en vigueur ce jeudi 7 août, une semaine après la signature du décret (31 juillet 2025) à la Maison Blanche.
« Il est minuit !!! Des milliards de dollars de droits de douane affluent maintenant vers les États-Unis d’Amérique », peut-on lire sur « Truth Social », le réseau du Président Donal Trump.
Mais l’UE – et donc la France, est loin d’être la plus taxée : 30% pour la Chine, 30% pour le Canada ou encore 50% pour le Brésil. Un « moindre mal » qui aura poussé Bruxelles à laisser de côté les négociations et sanctions annoncées, du moins pour six mois environ. Le temps d’avoir des précisions sur des secteurs de grande importance : comme les produits automobiles et pièces détachées, ou encore l’acier et l’aluminium fortement taxés (50% actuellement).
Les entreprises concernées par cette hausse des frais de douanes peuvent trouver des réponses sur le site du gouvernement.
Le 22 mai dernier, la Communauté de Communes du Pays Haut Val d’Alzette (CCPHVA) a vu son PLUiH annulé. Elle a décidé de former un pourvoi en cassation devant le Conseil d’État.
Le 22 mai 2025, la Cour Administrative d’Appel (CAA) de Nancy prononce l’annulation du Plan Local d’Urbanisme intercommunal valant Programme Local de l’Habitat (PLUiH) de la CCPHVA.
Face à cette situation, la CCPHVA a décidé de former un pourvoi en cassation devant le Conseil d’État pour contester l’annulation prononcée. En parallèle, elle a sollicité un sursis pour d’appliquer les règles précédemment accordées, dans l’attente du jugement définitif.
« Notre objectif principal est d’obtenir un sursis à exécution de la décision de la CAA de Nancy. Cela nous permettrait de maintenir, dans l’attente du jugement de cassation, les règles d’urbanisme retenues dans le PLUiH actuel », s’exprime la Communauté de Communes dans un communiqué.
La société d’avocat au Conseil d’État et à la Cour de cassation a rédigé un avis sur les chances de succès du pourvoi en cassation de la CCPHVA contre cette décision.
Pour rappel, la CCPHVA est située dans le Nord-Lorrain, entre Thionville et Longwy avec 6 communes membres en Moselle : Audun le Tiche, Aumetz, Boulange, Ottange, Rédange et Russange, et 2 communes de Meurthe-et-Moselle.
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À Florange, des jeunes se sont réunis au complexe de Bétange pour faire des activités sportives. Un après-midi permettant aux enfants de s’amuser lorsqu’ils ne peuvent pas partir en voyage pour les vacances.
Entre 14h et 16h, environ 60 enfants âgés de 6 à 12 ans ont participé cet après-midi à deux sessions d’activités organisées dans le cadre des Estivales de Bétange. Encadrés par deux animateurs, ils ont enchaîné les épreuves dans une ambiance à la fois sportive et conviviale.
Aurélie, animatrice dynamique, dirige les sessions. Elle prépare chaque fois un programme rythmé, pensé pour favoriser la cohésion entre les enfants tout en leur permettant de se dépenser. Lorsque chaque jeune à un ballon, la communication est plus facile, ils veulent s’amuser.
Parmi les participants, Gabriel, 9 ans, se réjouit des nombreux activités comme la passe à 10, la course de sac ou la balle au camp. L’après-midi a été ponctuée de cris de joie et de rires.
Il s’agissait déjà de la troisième session d’olympiades proposées cet été à Florange, où la programmation cumule événements culturels et activités sportives.
Le prochain rendez-vous est fixé au lundi 11 août, pour une grande chasse au trésor à la fois sportive et intellectuelle, organisée dans toute la ville.
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Après le succès de la première édition, le Thionville Open s’engage dans une nouvelle édition du 1er au 8 mars 2026.
« Chers partenaires, la première édition du Thionville Open a été un véritable succès, et nous tenions à vous adresser nos plus sincères remerciements pour votre engagement à nos côtés« . Voilà les premiers mots du communiqué envoyé ce mercredi 6 août par Yves Henri (Créateur – Dirigeant) et Ted Ranghella (Directeur du tournoi).
Une réussite chiffrée avec plus de 13 000 spectateurs sur la semaine, dont quatre jours à guichets fermés, au cœur du SPOT. Ce ne sont pas moins de 3 400 V.I.P et près de 1 000 jeunes qui ont été accueillis pendant cette compétition Challenger ATP 75, mobilisant plus de 150 professionnels.
« Nous sommes très heureux de vous annoncer que l’aventure continue« . Tennismans sur les courts et amoureux de la balle jaune dans les gradins se retrouveront au Thionville Open du 1er au 8 mars 2026. Une deuxième édition « encore plus ambitieuse« , organisée par ALL IN Moselle, sous l’impulsion de Jo-Wilfried Tsonga et Thierry Ascione.
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L’association Solidarcatt’ Ukraine a hérité d’un cadeau plus qu’utile. Offert par Enedis, un nouveau véhicule leur permettra d’acheminer du matériel de première nécessité en Ukraine.
L’engagement en faveur de l’Ukraine continue à Cattenom. Un nouveau véhicule, offert par Enedis à l’association Solidarcatt’ Ukraine servira à acheminer du matériel de première nécessité jusqu’au sud du pays, à près de 30 km de la ligne de front. Plus grand que les autres voitures de l’association, il pourra aider plus de monde, et parcourir un itinéraire plus important. « Il y a beaucoup de gens qui ne viennent pas, explique Hélène, Ukrainienne et membre de l’association, parce qu’il n’y a pas de transport et c’est souvent dangereux, donc on pourra aller à eux. »
Grâce à cet utilitaire, des centaines d’Ukrainiens pourront obtenir de l’aide. Objectif : faciliter l’action de ces femmes auprès des victimes. Une fierté pour Enedis, qui confirme son engagement. « Je suis très émue, et surtout très impressionnée parle courage de ces femmes », sourit Frédérique LAVA-STIEN, Directrice Territoriale Enedis Moselle et Meuse, les larmes aux yeux. Elle espère garder contact avec elles et assure que « cette histoire est loin d’être finie ».
Depuis 2022, l’association Solidarcatt’ a déjà acheminé plus de 270 tonnes de matériel. Les bénévoles partiront ce dimanche, pour une nouvelle quête humanitaire.
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Le comité de sélection de la FFA a retenu Yann Schrub et Auriana Lazraq Khlass pour les prochains championnats du monde de Tokyo qui auront lieu du 13 au 21 septembre 2025.
Ce mardi 5 août, pas moins de 31 athlètes français ont été sélectionnés pour les championnats du monde d’athlétisme qui se tiendront à Tokyo du 13 au 21 septembre prochain. En ajoutant les deux athlètes déjà qualifiées pour le marathon féminin, la délégation française compte actuellement 33 représentants. Cette liste reste ouverte et pourra encore s’étoffer en fonction des performances réalisées jusqu’au 24 août, avant l’annonce définitive prévue à partir du 1er septembre.
Pour obtenir leur ticket, les athlètes avaient plusieurs voies possibles : une place de finaliste (top 8) lors des Jeux olympiques de Paris, assortie des critères d’éligibilité World Athletics, ou encore une des deux premières places aux Championnats de France Élite de Talence, tout en respectant les minimas requis par la FFA depuis le 1er avril 2025.
Parmi les heureux élus, la Moselle sera représentée avec Yann Schrub, spécialiste du 5000m et champion de France Elite en titre dans la discipline alors que, de son côté, Auriana Lazraq Khlass, devrait également être engagée en heptathlon. Cette dernière devra toutefois confirmer son retour au plus haut niveau. Touchée au tendon d’Achille après un saut record, la jeune athlète avait dû interrompre son parcours aux Championnats de France Élite.
Crédits photos : Facebook @Yann Schrub et @jeanluc_juvin / @stadion_actu
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