La commune de Valmunster a inauguré ce vendredi 8 août une exposition en lien avec les 80 ans des bombardements d’Hiroshima et Nagasaki. 

Ce vendredi 8 août, la petite commune de Valmunster, forte d’une centaine d’habitants, a inauguré une exposition dédiée aux 80 ans des bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki. Elle présente photographies et documents explicatifs retraçant les événements tragiques d’août 1945, qui ont marqué l’histoire mondiale et coûté la vie à des centaines de milliers de personnes.

Pour le maire, cette initiative s’inscrit dans la continuité du travail de mémoire mené depuis plusieurs années. « Que ce soit à grande échelle ou dans un village comme Valmunster, il est important de rappeler les conséquences de cette bombe atomique, c’est un devoir de mémoire », souligne-t-il. En 2017, la commune avait déjà installé un arbre symbole, accompagné de deux compteurs : l’un affichant le nombre de jours de paix depuis le 8 mai 1945, l’autre le nombre de visiteurs venus apposer leur main en signe d’adhésion à la paix.

L’exposition n’est qu’une étape. Le 16 septembre prochain, deux cerisiers japonais seront plantés en hommage aux victimes et en signe d’amitié entre Valmunster et les villes martyres japonaises. Ce geste a d’ailleurs trouvé un écho jusqu’au Japon : le maire de Nagasaki a adressé une lettre de remerciement, exprimant son émotion face à cet hommage et à ce lien symbolique entre les deux communes.

Pour protéger les milieux aquatiques ainsi que leur faune et leur flore, les gardes fédéraux s’activent pour contrôler les pêcheurs.

Toute l’année, Thomas part à la rencontre des pêcheurs pour vérifier leur permis et veiller à la bonne gestion des milieux aquatiques de Moselle. Ce document officiel, primordial, donne le droit d’exercer la pêche sur différents lieux appartenant notamment à l’État.

Comme Thomas, ils sont onze gardes fédéraux à parcourir toute la Moselle pour faire respecter le Code de l’environnement. Et souvent, ils jouent la carte de la pédagogie. Les infractions peuvent être variées : pêcher sans permis, ne pas respecter les horaires ou les dates autorisées, capturer des espèces en dessous de la taille légale, dépasser les quotas de prises ou encore polluer le milieu.

Aujourd’hui, pour Thomas et son équipe, aucune infraction n’est à signaler. Pourtant, on recense en moyenne plus de 200 procès-verbaux chaque année en Moselle. Si un garde constate une infraction, l’agent de la Fédération départementale pour la pêche et la protection du milieu aquatique de Moselle (FDPPMA 57) doit rédiger un procès-verbal à destination de l’Officier du ministère public (OMP) ou du procureur de la République, selon la gravité des faits.

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Les derniers agriculteurs ont fini de récolter les grains. Cette année, le bilan des moissons est positif, aussi bien en terme de quantité que de qualité. 

Si certains agriculteurs, comme Philippe, ont pris du retard à cause de la pluie, les moissons touchent maintenant à leur fin. Cette année, le bilan est plus que positif. « On a pris un peu de retard mais ça ne change pas grand chose, confirme Philippe Houpert, globalement on a fait une meilleure récolte que l’année dernière. »

Un constat établi sur l’ensemble du département. Les rendements ont dépassé les 70 quintaux hectares pour le blé et l’orge d’hiver, avec une qualité meilleure que celle de l’année dernière. « On retrouve des qualités tout à fait satisfaisantes, notamment en calibrage en orge et en protéine en blé », précise Estelle Pochat, vice-présidente de la chambre d’agriculture. 

Qui dit moisson, dit aussi flux de cargaisons. Exploitants et coopératives amènent les grains, ensuite analysés et triés. Au port de Metz, une quinzaine de péniches de 2 000 tonnes chacune sont parties, remplies de récoltes. « On a un bon tiers de plus au niveau de la récolte, et beaucoup plus d’entrée de camions et de tracteurs », assure Gilles Auburtin, responsable du site de Lorca. 

Le périple des grains se poursuivra sur l’eau, en direction principalement d’Allemagne, de Belgique, ou encore des Pays-Bas.

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