Les forces de l’ordre mosellanes ont également vécu, à leur manière, les Jeux olympiques de Paris 2024. Un retour d’expérience inédit entre vie professionnel et contact humain.
Le vendredi 26 juillet dernier marquait le début des Jeux olympiques Paris 2024. Une aventure sportive, mais pas que. En effet, l’organisation de cet événement mondial prend évidemment en compte un aspect sécurité d’une importance … capitale. De ce fait, les forces de l’ordre internationales cohabitent afin de faire de cet événement une réussite totale. Parmi elles, certains agents venus tout droit de Moselle ont pu bénéficier d’une « aventure extraordinaire et unique dans la vie d’un policier », comme le confie Nathalie Schoettel, commandant à la Direction interdépartementale de la Police Nationale (DIPN), affecté à l’état-major.
Entre rythme intense et échanges rafraîchissants
Dans un contexte qui aurait pu laisser craindre à des complications, les forces de l’ordre mènent un rythme assez soutenu afin d’assurer la sécurité de toutes et tous lors de ces Jeux. Une intensité marquée par une surveillance accrue, sur terre comme dans les airs avec la Lutte Anti-Drône (LAD), dont 6 Messins faisaient partie des plus de 650 policiers mosellans embarqués dans ce dispositif unique. Au contact de la populaire nationale et internationale, les contacts humains ont pris une tournure saine, non sans conséquence. « Les gens étaient heureux de nous voir, plutôt de très bonne humeur, explique Antoine Baudant, chef du service interdépartemental de la police judiciaire de Metz. J’ai vu des collègues se faire offrir des cafés tôt le matin, des sandwichs. Plein de petites attentions et d’échanges, le tout dans une bonne humeur qui est plutôt rafraîchissante ».
Une parenthèse euphorique qui se refermera officiellement le 11 août prochain. Mais d’autres partiront en mission, toujours au rythme des jeux, mais paralympiques.
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