La décision de justice a été rendue aujourd’hui. Enenvol ne peut plus se référer au GEMAB dans sa communication et ses supports, concernant son événement organisé en juillet.
C’est la fin du duel entre les deux ballons. La décision de justice a été rendue aujourd’hui. Enenvol ne peut désormais plus se référer, explicitement ou implicitement, au Grand Est Mondial Air Ballon, et à toute autre manifestation d’aérostiers organisée par Philippe Buron Pilatre. C’est-à-dire qu’Enenvol ne peut plus utiliser le GEMAB dans sa communication ou sur ses supports, ou tout autre signe faisant référence à des montgolfières.
Enenvol est aussi condamné à payer une somme de 5 000 euros de dommages et intérêts à Philippe Buron Pilatre, et une autre de 3 000 euros. L’événement aura bien lieu du 25 juillet a 3 août, mais sous conditions. Si Enenvol enfreint l’interdiction ordonnée par le tribunal, la société devra payer 1 000 euros par infraction.
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